Des sources sécuritaires ont indiqué que les analyses ADN effectuées sur les sept cadavres transportés à l'hôpital Charles Nicole à la capitale auraient confirmé la mort de Kamel Gadhgadhi, lors des échanges de tirs avec les unités spéciales de la garde nationale à Raoued. Les mêmes sources ont affirmé mardi 4 février 2014 à Mosaïque FM que Kamel Gadhgadhi serait parmi les deux terroristes qui ont fait sauter leurs ceintures explosives, juste après la perquisition de la maison, qui servait de refuge pour le groupe armé, par les forces de sécurité.