Le gendre de Rached Ghannouchi et ancien ministre des Affaires étrangères, Rafik Abdessalem, a souligné qu'il ne s'opposait pas à la révision des nominations à la tête des postes en relation directe avec les prochaines élections, précisant toutefois qu'elle ne devrait pas se transformer en règlement de compte avec le gouvernement de la Troïka, notamment avec le mouvement Ennahdha. Rafik Abdessalem a appelé à la révision de toutes les nominations à compter de la Révolution de 14 janvier 2011, soulignant que le gouvernement de Mehdi Jomâa n'allait certainement pas entrer dans ce genre de conflit.