Engagé depuis longtemps dans le domaine de la protection de l'enfance en ligne, Microsoft a organisé, en collaboration avec le ministère de l'Education et de la Formation, le mercredi 24 février , une session de formation de formateurs sur la sécurité des enfants en ligne, au Centre national de formation des formateurs en éducation (Cenaffe), situé à Carthage Hannibal. Les enseignants et formateurs du ministère devront par la suite sensibiliser les enfants ainsi que leurs parents sur les dangers qui peuvent se trouver sur internet et les différents moyens de prévention. Mme Amel Boukhari, directrice du Cenaffe, a déclaré que «conformément aux directives présidentielles de rehausser le niveau de la culture numérique des jeunes et particulièrement les enfants, et étant conscients des risques encourus par les jeunes internautes, nous lançons cette session de sensibilisation. Cette session est animée par un formateur agréé microsoft et porte sur des conseils et des directives à appliquer pour mieux protéger les enfants des dangers qu'ils peuvent rencontrer sur internet». La formation couvre les dangers qu'un enfant peut rencontrer sur tous les usages en ligne: chat, réseaux sociaux, blogs, partage de contenus audio ou vidéo, jeux en ligne, tout pour que les formateurs puissent se mettre à niveau pour mieux protéger les enfants et aider leurs parents à bien surveiller leurs «cyberkids». Pour sa part, Mme Saloua Smaoui, directeur général de Microsoft Tunisie, a tenu à préciser que «pour Microsoft, en tant qu'entreprise citoyenne, cette démarche s'inscrit dans un engagement de longue date dans le domaine de la protection de l'enfance en ligne. Microsoft mène de nombreuses campagnes de prévention et de sensibilisation, seul ou en collaboration avec des associations de protection de l'enfance et les pouvoirs publics, comme c'est le cas pour cette formation». De son côté, M. Hafedh Yahmadi, directeur des Platforms au Centre d'innovation de l'entreprise, a noté que le groupe contribue, à travers ses systèmes d'exploitation à renforcer la sécurité des données des internantes y compris les enfants.