Le bonhomme faisait tranquillement la sieste dans sa chambre d'hôtel, à Vienne, et quelques « plaisantins » l'ont inscrit dans la rubrique nécrologique. Au point que Adel Nefzi a demandé qu'on le pince et a juré de produire, à son retour à Tunis, un certificat de bonne vie et mœurs pour prouver qu'il est bien vivant.