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Le grand chantier
Dossier : Transport en commun
Publié dans Le Temps le 17 - 12 - 2007

Les scènes de passagers accrochés aux portes des bus deviennent de plus en plus fréquentes à Tunis, spécialement, en fin de journée, sur les lignes qui desservent les banlieues lointaines (Tébourba, Oued Ellil, M'hamedia, Fouchana, etc..) et, en matinée, sur celles qui desservent les zones industrielles (la Charguia et Ben Arous).
De telles scènes donnent une idée sur le calvaire quotidien des usagers du transport en commun dans la capitale mais, aussi, dans les grandes villes - comme Sousse et Sfax - qui souffrent, elles aussi, d'un manque de fluidité dans leur transport en commun. D'ailleurs, ce supplice ne se limite pas aux bus, il est, quotidiennement, vécu par les usagers du métro de Tunis pendant les heures de pointe, matinales et nocturnes. En effet, il devient courant qu'un métro se bloque dans une station en raison de l'impossibilité d'y fourrer tous les passagers. Et comme le sens du civisme n'est pas omniprésent, et certains usagers ne veulent pas attendre le métro suivant, de tels contretemps entraînent, souvent, des bouchons de métros dans les zones névralgiques (la place de la République, la place Barcelone et la gare TGM). Pour ainsi dire, les usagers du transport en commun souffrent le martyr, la plupart du temps, pour arriver à leurs usines, bureaux ou lycées. Les mêmes souffrances les accompagnent dans leur retour. Ne sont épargnés que ceux et celles qui rejoignent leurs emplois en dehors des heures de pointe. Pour ces derniers, ce sont plutôt les attentes qui s'allongent, semble-t-il. Cette situation n'encourage point les usagers de ce mode de transport à s'attacher à ce choix. Ils rêvent plutôt du jour où ils vont pouvoir se libérer de son joug et de s'acheter leur propre voiture. Pourtant, le transport en commun est celui qui permet de réduire les embouteillages et de relever le défi de la maîtrise d'énergie. Toutes les grandes villes d'Europe, des Etats-Unis ou du Japon, sont dotées de Métro. En effet, il est censé être le plus économe en matière de coût énergétique et environnemental. D'ailleurs, les experts du ministère du Transport sont conscients des difficultés rencontrées par les usagers du transport en commun et ils ont établi des programmes susceptibles de répondre à leurs souhaits d'accéder à une meilleure qualité de transport en commun et qui permettent, en plus, de réduire la facture énergétique. Mais, aussi performants et alléchants soient-ils, ces programmes tardent à voir le jour et les usagers s'impatientent et exigent des palliatifs en attendant les grands remèdes. Le Temps a jugé utile de présenter le point de la situation.

Du côté de l'administration :
Le transport collectif est une priorité nationale
Tunis reste la seule ville africaine et arabe à se doter d'un métro léger. Actif depuis 1985, le réseau s'est enrichi progressivement pour comprendre aujourd'hui 5 lignes principales (sur 32 kilomètres) desservant les principales agglomérations de la capitale. Le trajet compte 47 stations et il est desservi par 136 rames. Il ne faut pas, non plus, ignorer l'apport de la ligne Tunis- La Goulette-La Marsa qui est longue de 19 kilomètres et qui dessert toute la banlieue Nord de Tunis. En outre, la tendance est au développement de ce réseau, aussi bien en infrastructure qu'en matériel. Ainsi, et outre l'acquisition de 30 rames supplémentaires, la ramification de ligne 1 vers El Mourouj va permettre de résoudre le problème du transport de cette nouvelle cité forte de près de 100.000 habitants. D'ailleurs, le ministre du transport, M.Abderrahim Zouari, a affirmé devant la Chambre des conseillers - lors des débats budgétaires 2008 - que « la première partie de cette ramification sera prête durant le premier trimestre 2008. Des problèmes fonciers ont été derrière le retard de réalisation de ce programme. En plus, les travaux de prolongement de la ligne 4 vers la Manouba se poursuivent et la fin des travaux est prévue pour octobre 2009. ». Le ministre a précisé aussi que : « des efforts sont déployés afin de rénover le parc des bus, et notamment pour les sociétés régionales de transport. Un millier de nouveaux bus seront achetés au cours des trois prochaines années, ...., l'utilisation du gaz naturel par les bus sera consolidée après l'acquisition, en 2008, de 100 bus équipés à cette fin. ». Donc, les palliatifs sont en cours de réalisation et les résultats ne sauront tarder, selon l'administration. Pour ce qui est des programmes à long terme, la création de la société du réseau ferroviaire rapide du Grand-Tunis est en cours. Elle est chargée de la réalisation d'un gigantesque projet dans ce domaine. D'ailleurs, M. Abderrahim Zouari a expliqué que : « le transport en commun, et notamment le ferroviaire, constitue un choix prioritaire d'autant qu'il constitue la solution indiquée pour résoudre de multiples problématiques dont la consommation d'énergie, la protection de l'environnement et les embouteillages. C'est pourquoi le XIe Plan de développement (2007/2011) a consacré 1.788 millions de dinars au développement du transport ferroviaire, soit le quadruple de l'enveloppe consacrée à ce secteur pendant le Xe Plan. Plusieurs projets dans le domaine du transport ferroviaire seront réalisés au cours de l'année 2008 comme le démarrage des travaux d'électrification de la ligne Borj Cédria, au niveau du pont de Carthage. Les appels d'offres relatifs à l'équipement de cette ligne et de celle du métro du Sahel seront fin prêts en 2008. Les nouveaux trains de la ligne Tunis/Sousse entreront en exploitation, au cours du premier trimestre de l'année 2008. Les usagers auront des dessertes à raison d'une par heure de part et d'autre. Un intérêt particulier sera accordé à d'autres lignes, notamment celle de Tunis-Ghardimaou, Tunis-Kalaâ Khasba menant jusqu'à Kasserine et Enfidha- Kairouan, Gabès-Médenine, des lignes qui s'inscrivent, pour la plupart, dans le cadre du réseau ferroviaire maghrébin. C'est dire l'intérêt accru à développer le transport en commun. »

Lotfi, résidant à Tébourba et travaillant à Tunis : « Si je dépasse 16h30, il devient pénible de rentrer chez moi, la Transtu est appelée à améliorer les fréquences des rotations Tunis-Tébourba »
Vers 17 heures, la station Ali Belhouane (à Bab El Khadra) peut être assimilée à une ruche d'abeilles. Pleine de monde, jeunes et moins jeunes, hommes et femmes, ils sont tous à la recherche de transport vers les banlieues Ouest de Tunis. Les destinations de Tébourba, Oued Ellil, Sidi Thabet, etc... sont desservies par cette station. Les usagers attendent impatiemment la venue des bus et un rassemblement se forme dès qu'un engin fait irruption dans la station. Tout le monde est sur ses nerfs. Certains bus démarrent alors que les usagers sont encore, en train de monter. Pourtant, la moitié de l'autobus est encore vide. Quelques usagers protestent. Lotfi, résidant à Tébourba, dit : « Cette pratique est courante à cette heure. Les chauffeurs sont, d'une part, stressés par la circulation anarchique et, d'autre part, tenus de respecter les horaires et de prendre les usagers qui attendent dans les autres stations. Donc, ils partent en trombe sachent que d'autres bus vont prendre les voyageurs. C'est le calvaire quotidien de tous ceux qui se hasardent à prendre le bus après 16h30. Ces dessertes se passent dans des conditions difficiles et prennent plus de temps. Je pense qu'il serait nécessaire d'établir d'autres liaisons qui partent de la Charguia ou de l'Ariana pour décongestionner cette ligne. La situation est vraiment invivable. »

Sami, résident au Bardo et travaillant à l'Ariana: « le métro est lent, les lignes de liaison sont surchargées, je me rabats sur le privé »
La route X relie les banlieues Ouest et Nord de la capitale. Les habitants de Débourba, Oued Ellil, Le Bardo, Denden, La Cité Ezzouhour, etc... l'empruntent pour aller du côté de l'Ariana, la Charguia, et les banlieues Nord. Le matin, les bus 515, 515b, 514, 514b, 542, 533 sont archicombles dans le sens de la Charguia. Les usagers peinent pour arriver à leur travail. Sami, un résidant au Bardo, explique : « C'est un supplice quotidien. Il n'est pas possible de trouver un centimètre carré libre dans un bus. Les cars arrivent remplis par les usagers qui les ont empruntés dans les stations précédentes. Il m'arrive souvent d'arriver en retard à mon bureau à l'Ariana. D'ailleurs, j'ai demandé à mon patron de décaler mon horaire d'une heure pour éviter les embouteillages à l'aller et au retour. Transtu est appelée à renforcer cette ligne qui est trop chargée. Un départ matinal du Bardo peut arranger les affaires des habitants du Bardo, de la Cité Ezzouhour et de la Cité Erriadh. La demande existe. Autrement, le privé ne se serait pas intéressé à la ligne. »

Transport à Sousse: offre et demande : le déséquilibre
Dire que le transport en commun en Tunisie est souvent en difficulté n'est plus un secret de polichinelle.Se déplacer, rejoindre un lieu de travail; un établissement scolaire demeure la tracasserie quotidienne d'une grande masse des usagers dans les quatre coins de la République.Tout le monde en souffre; en pâtit; en parle, mais la qualité des services rendus laisse toujours à désirer malgré les quelques tentatvies déployées pour améliorer ce secteur vital dans le quotidien du tunisien moyen en particulier.Insatisfaction; grogne;protestation;plainte sont au menu des discussions de l'ouvrier, de l'employé, de l'élève, de l'étudiant pour s'exprimer amèrement sur cette activité charnière de l'économie du pays.
Sousse, bien que grande cité balnéaire et grand pôle toutistique, comme tous les autres gouvernerats du territoire n'est pas aussi bien lotie qu'on a tendance à le croire.Bousculades; lenteur ; ponctualité; désordre; manque de civisme de part et d'autre sont les éternels casse-tête et les habituelles images de la médiocrité de ce secteur.La ville et ses banlieues, quoique desservies par un réseau assez consistant et diversifié, n 'ont pas encore résolu cette épineuse équation.Tout le monde râle; rouspète et se plaint de diverses carences.
Le transport public qui assure la grande part des sevices souffre essentiellement de la vétusté et du délabrement des moyens utilisés.Le matériel roulant, amorti depuis belle lurette, continue pourtant à sillonner les rues.Sur-exploités, les bus de la STS( Société de transport du Sahel ) tombent souvent en panne.Faute de suivi; d'entretien et de civisme de certains voyageurs indisciplinés, le confort et la propreté font pratiquement défaut.Sousse qui centralise beaucoup d'administrations est obligatoirement prise d'assaut à longueur de journée de citoyens venus des villes et villages voisins.L'insuffisance des véhicules mis à la disposition d'une demande de plus en plus accrue va donner lieu à des encombrements insoutenables.Le problème prend plus d'ampleur à l'occasion des fêtes , les deux "Aids" en particulier.On a beau prévenir; organiser; consolider la "flotte", l'anarchie est toujours ancrée dans les esprits et dans les comportements.
Pour ce qui du transport privé, l'image est loin d'être reluisante.Taxis et voitures de louage, malgré leur nombre de plus en plus croissant, n'arrivent pas à couvrir toute la demande.Concurrence peu loyale donne lieu à des agissements peu orthodoxes.Coups-bas;magouille; astuces malicieuses sont les ingrédients privilégiés pour dénicher "l'oiseau" rare, pour déplumer le voyageur non averti.Les taxis-compteurs, peu convoités par les bourses moyennes et faibles, font la chasse au touriste présumé nanti.Si la situation ne tourne pas rond, on change de tactique.On prend les usagers qui payent" à la place" et qui se dirigent vers la même destination.
" Faute de grives , on se contente de merles". Tel est la devise actuel des usagers du transport dans la ville de Sousse et environs.Lorsque bus, louages et taxis ne sont pas disponibles, on se trouve obligé de se rabattre sur un autre réseau parallèle très en vogue dans la région et en plein essor:" Les voitures clandestines".Elles assurent le même sevice et au même tarif mais à vos risques et périls.Les voyageurs trouvent leur compte en empruntant ce moyen." Je préfère m'exposer à quelques problèmes que d'arriver en retard sur le lieu de mon travail", dit l'un des citoyens interrogés sur l'opportunité du choix de ce moyen de transport "illégal".
Comme nous le constatons, le problème du transport demeure entier que ce soit à Sousse ou ailleurs.Une gande étude du marché, de grands moyens matériels sont nécéssaires pour que le calvaire enduré pour se déplacer ne s'éternise pas.
Mounir Gaida

Transport à Sfax : Les usagers à la merci de la SORETRAS et des taxis (à la place) en attendant que le projet du métro se concrétise
Les problèmes chroniques du transport urbain à Sfax se traduisent particulièrement en termes de fréquence. Il est indéniable, en effet, qu'avec un parc roulant réduit, estimé à moins de 260 véhicules, la SORETRAS, n'est pas en mesure de faire convenablement face à la demande croissante d'une population dont la mobilité ne cesse de s'accroître. L'effet conjugué d'autres facteurs liés aux spécificités de l'extension urbaine, à la concentration horaire d'ouverture des établissements scolaires ainsi qu'aux encombrements pendant les heures de pointe, n'est pas non plus sans se répercuter négativement sur les prestations de ladite société.
La situation serait pire pour les usagers n'eût été le service rendu par les taxis place dont l'activité, illégale, est tolérée par les autorités. Même en l'absence de statistiques exactes, il est clair que ce mode de transport contribue largement et efficacement à répondre aux besoins des usagers en matière de fréquence et de rapidité des déplacements, voire de confort. Mais d'un autre côté cela contribue à accroître le déficit chronique et déjà considérable de la SORETRAS dont le rôle social est immense, sachant qu'elle assure le transport d'environ 60.500 abonnés entre élèves et étudiants durant l'année scolaire et universitaire en cours. Il est aisé en effet et sans besoin de statistiques de faire une estimation globale des clients « détournés » par les 1800 taxis (à la place), à raison d'une moyenne de trente « courses » par jour. La concurrence est en effet déloyale en dehors de règles et de législations claires. Et même s'il est vrai que les taxis( à la place) contribuent efficacement à résorber le mécontentement des usagers, il n'en demeure pas moins vrai que le danger vient du caractère lénifiant de ce rôle trompeur qui risque de camoufler les véritables problèmes du transport à Sfax. D'ailleurs, lesdits taxis qui font généralement du racolage pour embarquer les clients retrouvent leurs mauvais réflexes à l'occasion des fêtes nationales ou religieuses, à la veille de vacances ou aux heures de pointes lors des journées pluvieuses ou caniculaires et agissent à leur guise bafouant toutes les lois et toutes les règles morales.
La SORETRAS étant un patrimoine régional, il est impératif de la protéger en lui donnant les moyens de fournir convenablement les prestations qu'on en attend et d'alléger ses déficits chroniques supportés par la communauté nationale d'autant plus que le résultat des études en cours concernant l'aménagement d'un site propre pour le métro, risque de prendre encore du temps.


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