p class="p1" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 10px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";"«Le nouveau gouvernement sera-t-il indépendant ? Du FMI par exemple ? De la Banque mondiale ? De la France ? De l'UE ? Des pays du Golfe ? De la Turquie ?... Ce qui nous a amené ici, c'est que le pays est en faillite et que les responsables refusent de le dire aux Tunisiens... Nous en sommes arrivés là parce que nous sommes dans une économie rentière de consommation et non de production...on parle de gouvernement de compétences, or la compétence est dans le programme alors que personne n'en a. Je considère que la meilleure formule serait un gouvernement de compétences totalement indépendantes. Ses membres doivent être efficaces, intègres et prêts à assurer leurs fonctions ». p class="p2" style="text-align: right; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 10px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";"Hamma Hammami (Secrétaire général du Parti des travailleurs) p class="p3" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 10px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman"; min-height: 11px;" p class="p1" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 10px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";"«Ennahdha recommande toujours de former un gouvernement politique basé sur les quotas partisans afin de relever les défis sociaux et économiques auxquels fait face le pays. Si le gouvernement doit tomber qu'il tombe ! Pour le moment soyons optimistes. De surcroît, nous savons que le manque de stabilité politique est la principale cause de la crise actuelle dans le pays. Il a donc indiqué que la responsabilité, l'obligation et le devoir national imposent la formation d'un gouvernement de réalisation économique et sociale, plaçant le citoyen au cœur de ses intérêts et de ses priorités ». p class="p2" style="text-align: right; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 10px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";"Noureddine Bhiri (Chef du bloc parlementaire d'Ennahdha) p class="p3" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 10px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman"; min-height: 11px;" p class="p1" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 10px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";" « Jamais deux sans trois, dit l'adage... Et jamais huit sans neuf serait-on tentés de susurrer au énième chef de gouvernement désigné, afin qu'il prenne garde à ce qu'on n'arrive pas au jamais neuf sans dix ! Car notre nouveau système mafio-révolutionnaire est, telle la mante religieuse, bouffe le grand vizir sitôt fécondé son gouvernement. Et cela devient us et coutumes du sérail, et on s'en accommode comme d'une fatalité en plus. Si l'on exclut le gouvernement Béji Caïd Essebsi, tous les autres ont fait long feu, tués dans l'œuf. C'est vrai que la plupart ne brillaient pas par leur génie, mais cela n'empêche que c'est symptomatique de la défaillance d'un système imparfait et inadapté, parfois dirigé en sous-main, parfois perturbé, par une entité nocive ». p class="p2" style="text-align: right; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 10px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";"Habib Bouhawel (Artiste peintre) p class="p3" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 10px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman"; min-height: 11px;" p class="p1" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 10px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";"«Ce qui a été dit dans le spectacle de Lotfi Abdelli sur Abir Moussi tombe sous le coup de la Loi 58 (Loi organique n°2017-58 du 11 août 2017 relative à l'élimination de la violence à l'égard des femmes), car c'est une atteinte à la dignité et à la personne de la politicienne. Ce qui est arrivée à Abir Moussi est l'équivalent d'un crime de violence ! L'UNFT met en garde contre ce genre de crime. Chaque fois qu'on veut critiquer une femme, on ne critique pas ce qu'elle a fait, son comportement, ses positions ou ses visions. Son physique est tout le temps la cible de prédilection. Mais, pour ce spectacle, c'est pire puisqu'on est passé à la vulgarité, tout en nommant la personne en question ». p class="p2" style="text-align: right; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 10px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";"Radhia Jerbi (Présidente de l'Union nationale de la Femme tunisienne)