* Délit de fuite * Viol collectif Une jeune fille a porté plainte à la police contre le titulaire d'un numéro de téléphone qui ne cessait de l'importuner depuis un bout de temps. Des messages à la limite de la correction lui parvenaient continuellement à partir de ce numéro malgré le fait qu'elle n'ait pas cessé d'appeler son titulaire pour lui demander d'arrêter son manège. Devant la police, il a nié en bloc, les allégations de la femme déclarant que ce n'était qu'un tissu de mensonge. L'enquête a pourtant confirmé que les SMS incriminés étaient bel et bien issus de ce numéro. La brigade mise sur l'affaire a découvert que c'était le fils du titulaire du numéro qui exploitait le sommeil de son père pour s'adonner à cette pratique. Le jeune étudiant de 21 ans a été arrêté et déféré devant la justice.
Délit de fuite Un conducteur de camion a secouru une femme de 35 ans qui fut renversée par une voiture. Profitant de l'absence de témoins, le conducteur a pris la fuite. Or, le chauffeur du camion qui roulait juste derrière la voiture au moment de l'accident a secouru la jeune femme, en la transportant à l'hôpital. Après quoi il alerta la police déclarer en donnant son témoignage ainsi que le numéro de la plaque minéralogique de la voiture concernée. Interpellé, le propriétaire de cette voiture essaya de nier les faits, mais, l'expertise a confirmé les dires du témoin. Le chauffard a été arrêté et traduit devant la justice pour répondre des faits qui lui était reprochés.
Viol collectif C'est dans un piteux état que cette femme de 32 ans s'est présentée à l'aube au poste de police de sa localité pour porter plainte contre un groupe de trois jeunes qui l'ont détourné de son chemin, emmené de force avec eux dans un champ voisin et violé à tour de rôle durant toute une nuit. Elle s'est enfuie alors qu'ils se sont endormis. La jeune femme a donné le lieu du viol, les signalements de ses violeurs ainsi que le nom de l'un d'entre eux. La police a emmené la victime à l'hôpital pour la faire soigner et procédé à un ratissage de la région à la recherche des malfrats. Les trois criminels ont été interpellés alors qu'ils somnolaient encore. Ils ont essayé de nier les faits prétendant que la femme les avait suivis de son propre gré. Ces allégations n'ont pas convaincu les auxiliaires de justice en raison du piteux état de la femme qui ne laissait pas l'ombre d'un doute sur la violence qu'elle avait subie. Les énergumènes ont été arrêtés et traduits devant la justice.