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N'est-ce pas encombrant ?
La présence des présidents des clubs sur le banc…
Publié dans Le Temps le 27 - 07 - 2008

Normalement, et partout dans le monde, le banc est réservé exclusivement à sept personnes bien codifiées formant le staff, suivant les normes dictées par la FIFA , en l'occurrence : l'entraîneur et son adjoint ; le préparateur physique ou l'entraîneur des gardiens (quand d'aventure son club a daigné lui procurer une licence) ; deux dirigeants ; le médecin et son kiné, et bien sûr les sept joueurs remplaçants.
Leur identité complète ainsi que le numéro de leur licence figurent sur la feuille officielle de match. Et avant le coup d'envoi de chaque rencontre, le corps arbitral fait une petite virée du côté des guérites histoire de procéder aux vérifications d'usage. Les intrus sont priés de quitter les lieux et de s'installer en dehors de la main courante. Chose qu'ils appliquent par ailleurs sans rechigner assurés qu'ils étaient de regagner le banc une fois la partie commencée. Un simple coup d'œil sur le banc des autochtones surtout chez les jeunes est des plus édifiants.
Seulement voilà, un beau jour, Slim Chiboub, prit tout le beau monde footballistique de court, bouda la tribune d'honneur et s'installa d'autorité sur le banc parmi les siens.
Tollé général de ses détracteurs, et chacun d'y aller de sa petite version : abus de pouvoir, provocation de l'adversaire, intimidation du trio arbitral, coup de fouet et décharge supplémentaire d'adrénaline pour ses protégés, inhibition des potentialités réelles de l'opposant, etc. Mais chose curieuse, personne n'osa piper ouvertement le moindre mot ou tenter de l'empêcher d'agir de la sorte !
De fil en aiguille, certains des plus hardis de ses collègues se mirent timidement à l'imiter.
Au jour d'aujourd'hui, une telle présence d'un président est banalisée, elle est entrée dans nos mœurs locales. Mieux, la FTF leur délivre même une licence en bonne et due forme.
Ce qui nous amène à nous poser ces questions ? Que font-ils exactement sur le banc ? Leur présence ne risque- t-elle pas de gêner quelque part le staff technique ? Ne constitueraient-ils pas un boulet de canon que traîneraient les coaches 90 minutes durant ? Comment les joueurs sur le terrain appréhendent-ils cette menaçante épée de Damoclès à quelques pas du rectangle vert ? Qu'elles sont les conséquences de leurs réactions parfois intempestives et incontrôlées sur le public ?
Voici par ailleurs les réponses des principaux intéressés dans l'affaire, les présidents et leur entraîneur :

Slim Chiboub : "Ne pas suivre mon exemple"
Vous me qualifiez de pionnier pour avoir été le premier président de club à avoir institué cette pratique. Peut être, mais en agissant de la sorte à l'époque je ne faisais nullement cette approche et je n'avais absolument pas ce raisonnement en tête. C'était en quelque sorte l'aboutissement d'une passion débordante. J'ai répondu à un appel du cœur, je voulais être le plus près possible des miens, communier avec eux en une parfaite symbiose. Je n'ai imité ou copié le comportement de personne dans mon initiative. Par la suite, d'autres ont pris le même chemin. Je pense que si un président dispose d'une solide culture footballistique, que s'il est à même de contrôler parfaitement ses réactions dans les moments les plus difficiles, que s'il est doté du charisme nécessaire pour dominer son sujet et ne pas se faire submerger par les évènements, un tel personnage pourrait éventuellement s'asseoir sur le banc. Pour le reste, je leur conseille vivement de ne pas y être, ils ont d'autres chats à fouetter. Ils seront très bien dans la tribune d'honneur bien au chaud. Ils n'ont pas à dupliquer ou à reproduire une attitude prise par le passé par Slim Chiboub. Je ne suis pas un exemple à suivre.

Mohamed Achab (ST) : "Je n'en vois pas l'utilité"
Je ne vois nullement l'utilité d'une pareille attitude. Le banc est réservé aux staffs technique, administratif et médical. La présence du président ne fait à mon sens que mettre la pression sur ces messieurs. Le risque de perte de concentration, de quiétude de leur part est grandement présent. Je pense que l'entraîneur a besoin durant le match du maximum de discernement, de lucidité et de liberté de manœuvre ; changements de joueurs et de systèmes, consignes à donner, sermons à admonester, reproches parfois virulents à faire, etc. Etre flanqué de son employeur est de nature à obscurcir un tant soit peu ses horizons, à limiter son champ d'action.
Cependant, mes collègues et moi, vivons souvent des calvaires dans les tribunes d'honneur surtout en déplacement où on nous fait entendre des vertes et des pas mûres. Et c'est pour cela que certains préfèrent le banc plutôt que de se faire descendre en flammes du côté des gradins.
Personnellement je me mets toujours seul à l'entrée des vestiaires. Vous me demandez comment je peux rester 90 minutes durant debout, je vous réponds que je suis debout et sur la brèche depuis bientôt 30 ans, alors....

Mongi Bhar (CSHL) : "En quête de sécurité"
Oui, je suis les rencontres de mon équipe à partir du banc des remplaçants, mais attention, je ne fais que regarder le match comme le fait tout le monde. Je n'ai rien à voir avec le managérat et tout ce qui est des prérogatives des staffs technique administratif et médical.
Je le fais dans le dessein de m'extraire des conditions exécrables qui prévalent malheureusement dans les tribunes d'honneur avec des propos orduriers à horripiler les âmes les plus endurcies. Je m'explique: en déplacement, nous sommes régulièrement la cible privilégiée du public local, son souffre douleur en quelque sorte.
Chez moi à Hammam-Lif, je m'exile loin de mes supporters car je ne tiens pas à écouter leurs attaques virulentes contre mes protégés. Critiques réglées comme du papier à musique parfois avant même le coup d'envoi des rencontres. Donc pour éviter les confrontations avec eux, je leur cède bien volontiers la tribune et me place sur le banc.

Hédi Lahouar (ESHS) : "Je m'isole très loin du banc et des gradins"
Vous savez, m'asseoir sur le banc des remplaçants n'a jamais été ma tasse de thé, l'expérience ne m'a jamais tenté et ce n'est pas aujourd'hui que je vais commencer ! Je pense que ce lieu est sacré pour que le staff y travaille à l'aise, en toute quiétude et prenne les décisions idoines loin de la pression que ne manquerait pas d'exercer même indirectement un président à côté.
Le travail du président se fait en semaine, mais le jour du match sa place est dans la tribune. Il n'a rien à voir avec le banc.
Cela étant dit, en ce qui me concerne, le jour du match, j'évite systématiquement la tribune pour ne pas endurer les slogans diffamatoires des deux galeries. Je me choisis un coin isolé et loin des regards indiscrets pour suivre attentivement l'évolution des miens.

Samir Akremi (Jendouba S) : "Une option devenue obligatoire "!
Je comprends parfaitement et cautionne pleinement pareille décision. Le jour où les présidents se sentiraient totalement sécurisés et à l'abri des dépassements quasi hebdomadaires de la part de certaines franges de supporters qui ne se rendent aux stades que pour dénigrer, vilipender, et humilier les premiers responsables, ce jour là je dirais oui à la tribune d'honneur mais pas avant. Ce raisonnement tiens la route pour moi que ce soit en déplacement ou même dans mes murs à Jendouba où en principe je devrais être à l'abri de ce traitement odieux et indigne.
Donc c'est une migration que je qualifierai d'obligatoire. Elle n'a aucune influence sur le comportement des joueurs sur le terrain, qui doit être exemplaire même en l'absence possible du premier responsable du club, ni encore moins sur les décisions que le staff arrête en fonction du déroulement de la partie.

Abdelatif Kéfi (O.Béja) : "Une présence que j'estime appropriée"
Je pense sincèrement que la présence du président sur le banc parmi les siens est des plus indiquées. Il contribue énormément à tempérer les ardeurs, à calmer les esprits si d'aventure les tournures prenaient une mauvaise direction sur le rectangle vert aboutissant aux classiques scènes de surchauffe. Mais c'est une décision individuelle selon la vision de chacun de mes collègues.
Personnellement je préconise cette approche car j'ai un faible pour le banc depuis que j'étais président de section. Ma présence a toujours été bénéfique et bien appréciée par mes collaborateurs et mes joueurs où nous nous sentons plus près les uns des autres surtout dans les moments critiques où nous devons nous soutenir et nous épauler mutuellement.

Maher Kanzari (entr.-adj ESt) : "Les joueurs se sentent sécurisés"
Je trouve que la présence du président à nos côtés sur le banc est des plus positives pour tout le groupe. C'est une émulation supplémentaire qu'il leur fournit en étant tout près d'eux. Personnellement, cela ne me dérange nullement, au contraire c'est très bénéfique du moment que les joueurs se sentent mieux en confiance et s'adonnent davantage à leurs tâches. Le résultat se traduisant par une meilleure prestation des miens, j'adhère parfaitement à cette approche.

Michel De Castel (ESS) : "Même en Europe ils y sont de nos jours "!
Pour moi, j'ai eu jusque là à travailler avec trois grands monsieurs du football comme je l'ai annoncé précédemment sur vos colonnes, en l'occurrence messieurs Chiboub, Zahaf et Driss. Ils ne m'ont jamais gêné dans mon travail et n'ont en aucune manière interféré dans mon suivi des rencontres. Durant les 90 minutes, je ne m'occupe que de la lecture de l'évolution des miens pour y déceler ce qu'il y a à corriger. Bien sûr après coup, nous analysons et disséquons ensemble les différents aspects du match, mais seulement à posteriori et à froid.
Pareille attitude m'a surpris en débarquant chez vous, car en Europe, les présidents ne rodent jamais du côté des guérites. Mais de nos jours, le modèle tunisien fait des émules dans le vieux continent et cette mode a fini par séduire de nombreux présidents qui préfèrent suivre les rencontres sur les bancs.

Mokhtar Tlili (CAB) : "De la pure démagogie"
Qu'est ce que vous me sortez là ? En quoi la présence d'un président de club gênerait-elle le staff dans son travail ? C'est de la pure démagogie je pense. En 40 années de banc, je n'ai jamais eu à me plaindre de l'ingérence de qui que ce soit dans mes affaires techniques. Au contraire, leur présence est des plus salutaires car ils donnent un tonus supplémentaire au groupe qui s'investit de la sorte davantage dans le jeu. Et puis aucun président qui se respecte ne se permet de piétiner les plates bandes de son technicien. Dans la même lignée, aucun collègue digne ne tolèrera qu'on intervienne dans sa cuisine sur le banc à l'exception d'un seul dont je garde le nom pour moi mais qui se reconnaîtra.

Ridha Akacha (CSHL) : "Une gêne pour tout le monde"
En général, je ne vois nullement où réside l'utilité de la présence d'un président de club sur le banc. Un entraîneur flanqué de la sorte de son employeur ne peut mener à bien sa mission et diriger comme il se doit ses protégés. Il est quelque part ligoté et très peu libre de ses mouvements et décisions. Car l'influence quoique muette de son supérieur plane lourdement sur le banc et conditionne dans une large mesure le comportement du coach qui, inconsciemment se trouve à épier les réactions, les gestes et même les non-dits du patron !
Pour le bien de tout le monde, qu'ils élisent domicile dans l'espace qui leur est réservé, et laissent les staffs trimer et faire leur boulot sans pression supplémentaire ; ils n'en ont nullement besoin croyez moi !

Mahmoud Ouertani (O.Béja) : "Ne pas interférer dans mes prérogatives"
Qu'ils se mettent sur le banc ne me dérange nullement du moment que je passe les 90 minutes debout dans ma zone technique à diriger les miens. Pas de souci également qu'ils interfèrent dans ma gestion du match du moment que dès ma première prise de contact avec eux je leur fais clairement comprendre, avec tout le respect que je leur dois, que les affaires techniques sont strictement et uniquement de mon ressort. Dès le début, je me barricade hermétiquement et fais front aux éventuels courants d'air ultérieurs.
Mais il faut les comprendre également, car à part deux ou trois stades où ils sont à l'abri, partout ailleurs ils sont la cible des attaques les plus viles. Donc ils se trouvent dans l'obligation de se réfugier parmi leurs joueurs.

Mohamed Kouki (A S Kasserine) : "La tribune de presse est le lieu le mieux indiqué"
Pourquoi nous voiler la face et nous réfugier derrière des expressions pompeuses ? Sommes-nous des saints sur les bancs mes collègues et moi ? Bien sûr que non ! Nous sommes des humains et nous vivons les péripéties des rencontres pleinement et plus que tout autre personne présente dans les stades. Il nous arrive donc des fois de proférer certaines paroles qui nous échappent dans le feu de l'action. Avoir son président à proximité dans pareils cas est de nature à causer une grande gêne pour tout le monde. Sans oublier que certains d'entre eux se permettent de critiquer et d'intervenir quant à la tactique à modifier, aux joueurs à injecter, aux postes à renforcer, s'ils n'entrent pas en conflit carrément avec le trio arbitral ou le 4 ème arbitre !
Franchement, je pense qu'ils feraient mieux de suivre les rencontres de la tribune en compagnie des membres de leur bureau en véritables VIP. Les critiques et les remarques se faisant à froid et le lendemain du match. C'est tout de même leur droit de nous demander des explications !

Lotfi Rhim (USMO) : "Leur rôle doit s'arrête aux vestiaires"
Sincèrement, ils n'ont rien à faire sur le banc. Ils peuvent contribuer par leur présence à relever le moral de leurs joueurs et à les gonfler à bloc, mais leur rôle prend fin juste quand les leurs quittent les vestiaires. Pour moi, étant concentré sur mon match, ils ne me dérangent pas outre mesure. Partout dans le monde, ils sont dans la tribune, alors pourquoi chez nous on déroge à cette règle ? Je comprends cependant qu'ils la fuient pour éviter de se faire lyncher verbalement par certains énergumènes. Il est grand temps qu'on pense à bien leur assurer une protection digne de leur rang.

Ali Ben Néji (O.Kef) : « Normalement, ils doivent être dans les tribunes »
Personnellement, ils ne me gênent nullement tant qu'ils n'interviennent pas dans mes affaires. La personnalité de l'entraîneur est déterminante dans ce domaine. Normalement, ils doivent être là haut dans la tribune. Ceux qui ont peur d'être décriés n'ont pas à postuler à la présidence. Pour les petites natures, un seul conseil : Qu'ils suivent donc les rencontres à la TV ! Car un président est sujet et aux louanges et aux encensements mais également aux quolibets et insultes. C'est la règle du jeu et ils ne le savent que trop avant de s'engager dans cette filière. Pourquoi n'assument-ils plus alors jusqu'au bout leur statut d'autant plus que d'entrée de jeu la donne est des plus explicites quant aux désagréments à encourir ?


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