A peine le championnat a-t-il entamé sa deuxième journée que, déjà, les hommes " en noir ", se mettent à " se distinguer " à leur manière, en arbitrant à tort et à travers pour, finalement, fausser la compétition. A ce titre, trois exemples sont des plus édifiants. Commençons, d'abord, par le match de samedi entre le CA et la JSK, dirigé par l'arbitre Mohamed Hédi Békir, qui a offert les trois points au CA, en lui accordant un but irrégulier, la balle n'ayant pas franchi la ligne. Békir a fini aussi par pénaliser un ensemble aghlabite qui quitte le stade d'El Menzah, la mort dans l'âme. Les bévues arbitrales ne s'arrêtèrent pas là, puisque aussi bien l'Espérance que le Club Sfaxien durent faire le même constat à leurs corps défendant. En effet, l'arbitre Nabil Aguir devenu tristement " célèbre " depuis dimanche pour avoir frustré les " Sang et Or " de trois penalties évidents, a été largement dépassé par le rythme imprégné à la rencontre. Il a manqué néfastement d'autorité et le contrôle du match lui a littéralement échappé. Aguir, sans le voiloir bien sûr, a influé sur le résultat final. C'en est pas fini puisqu'à Béja, le CSS n'en fut pas plus heureux, suite à une erreur d'appréciation criarde de l'arbitre Chamseddine Lamti qui a privé les Clubistes Sfaxiens, d'un penalty on ne peut plus net lorsque un dernier défenseur béjaois arrêta irrégulièrement Guemamdia, en le ceinturant jusqu'à le faire tomber ! ! Un penalty qui aurait pu changer l'issue finale de la partie. Si la CAF et la FIFA continuent à snober nos arbitres, il ne faut pas être sorcier pour deviner les raisons ! ! !