Par rappel, nous avions évoqué, ici même vers la fin de la saison passée, certains faits extra-sportifs qui ont fait irruption dans le quotidien de la section des espoirs du Stade Tunisien... Avec l'avènement de Fethi Skhiri, il a été mis fin aux inégalités des chances dont sont victimes quelques joueurs. Si l'état des choses n'avait pas changé dans l'intersaison, on n'aurait peut être jamais découvert des garçons comme Riahi, Moumen, Ayari, Chagra... Nous revenons à la charge, parce que cette méritocratie fraîchement installée, semble ne pas plaire à certains présumés proches du club, comploteurs, et à certains parents qui cherchent par tous les moyens à imposer leurs rejetons, des petits joueurs qui n'ont aucune chance de percer. Du coup, ces derniers jours, le coach, celui là même qui a été à l'origine de l'éclosion de pas mal de talents, n'est plus bon, ses méthodes sont désuètes, et, on cherche par des moyens impudiques et incorrects à avoir sa tête. Fethi Skhiri est réputé par ses grandes qualités morales, et au Bardo, il jouit de l'estime de tout le monde. Il est en train de faire du bon travail, à la tête des A', et ce qui est rassurant pour l'avenir du club, il est incorruptible. Les joueurs qu'il aligne les dimanches sont toujours les meilleurs, et sur tous les plans. Ce petit cénacle de dépravés peut tout tenter, il n'arrivera jamais à sa fin ! Ces censés proches, soudoyés, feraient mieux de changer d'attitude et de conduite, ils n'ont aucune idée du tort qu'ils sont en train de causer au club et à ses responsables ; les parents mécontents n'ont qu'à transférer leur Zidane, leur Maradona, ailleurs !