Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.
Quatre témoignages prouvent l'implication de Sihem Ben Sedrine dans des profits financiers illégaux au nom des droit de l'Homme Au cours d'une conférence de presse au siège du Syndicat National des Journalistes Tunisiens
Quatre journalistes, dont une femme, ayant travaillé pour le compte de la radio et de la revue « Kalima » qui appartenait à Sihem Ben Sedrine ont présenté, lors d'une conférence de presse, des témoignages accablant contre cette dernière, qui serait selon ces témoins impliqué dans des profits financier illégaux au nom des droit de l'Homme. Ces témoignages: « L'autre visage de Sihem Ben Sedrine » ont mis à nue les activités de Ben Sedrine au sein du Conseil National des Libertés ainsi qu'à l'Observatoire National de la Liberté d'émission et de création ou encore à la radio et la revue « Kalima » sur internet. En présence d'une assistance nombreuse, les témoins ont révélé, preuve à l'appui, les différents abus commis par Sihem Ben Sedrine. Les conférenciers ont dénoncé les abus de Sihem Ben Sedrine qui fait de la défense des nobles valeurs humaines un prétexte pour tirer un profit personnel. Un esprit commercial qui est le sien et qui n'a aucun rapport avec le militantisme pour les droits de l'Homme. Lors de son intervention, la consoeur Khaoula Ferchichi a mis en évidence les excès d'autorité de Ben Sedrine qui voulait imposer toujours son avis ainsi que celui de son mari/ Un autoritarisme qui envenimait l'ambiance de travail. Par ailleurs, elle refusait souvent certains travaux de confrères sans aucun motif plausible et sans possibilité de discussion ou d'échange d'avis de manière libre et démocratique. Bien plus, elle engageait certains confrères à participer dans des campagnes de dénigrement, montées de toutes pièces et elle traitait de poltrons et de couards tous ceux qui refusaient d'y participer. Pour sa part, le confrère Mohamed Dhafer Aty a déclaré, lors de son intervention, qu'il avait travaillé pendant des années avec Sihem Ben Sedrine pour la réalisation de documentaires traitant de différents sujets enregistrés sur des casettes-vidéos. Des sujets pour lesquels des fonds ont été collectés sans qu'ils ne soient jamais réalisés.Et d'ajouter que Sihem Ben Sedrine, avec son visage souriant, exploitait la bonté de certaines personnes, cachant ainsi son vrai visage, celui d'un vampire qui profitait des souffrances d'un bon nombre de compatriotes qu'elle exploitait sans vergogne ni pitié. De son côté, le docteur Sami Nasr a déclaré qu'il avait fini par démissionner du parti Démocratique Progressiste après avoir été victime de pressions tant sur le plan matériel que psychologique. Ces pressions étaient notamment exercées par Sihem Ben Sedrine qui dénigrait sans cesse ses capacités intellectuelles. Corruption D'après, le rapport, dont Assabah a pu en avoir copie, il s'avère difficile d'établir avec précision les financements récoltés par Sihem Ben Sedrine. Il est, en effet, comme le fait savoir M. Sahbi Amara, trés difficile, en l'absence de preuves comptables, de cerner les activités et les projets qu'elle proposait aux différentes organisations étrangères. De plus elle sollicitait plusieurs financements pour le même projet, de différentes organisations étrangères. Le rapport cite, à ce propos, le cas du recrutement d'un chercheur permanant au sein de l'Observatoire National de la Liberté avec un salaire mensuel de 450 dinars alors qu'elle avait touché un financement équivalent à quatre fois ce salaire. Un autre exemple : les frais des fax et d'internet ont atteint la somme annuelle de 1000 dollars alors que le coût annuel de l'internet en Tunisie est de 240 dinars. Quant au coût du fax il ne dépasse guère un dinar pour dix pages. Même constatation concernant le loyer du local qui a atteint 3800 dollars en moins d'un an alors que le loyer mensuel ne dépasse pas les 80 dinars. Par ailleurs la FDHM a décerné à Sihem Ben Sedrine la somme de 30 mille dollars en date du 11 décembre 2006 en vue de financer les activités de l'Observatoire, cependant aucune activité n'a été enregistrée. Les intervenants ont, à la fin de cette conférence, appelé à la nécessité d'ouvrir une enquête pour mettre au grand jour ces apports financiers douteux surtout que personne n'est au dessus de la loi. Il a été enfin appelé à la formation d'un comité constitué d'organisations de droit international et de la société civile afin de faire la lumière sur ces fraudes financières.