Pour oublier leurs problème certaines personnes trouvent en la dive bouteille un grand stimulant. "L'alcool nous fait perdre la tête parfois et nous fait vivre dans un autre monde ; un monde réconfortant et sans problèmes" disait un bonhomme édenté rencontré par hasard cachant une bouteille de rouge dans les grandes poches intérieures de son blouson en cuir. Mais l'affaire dont nous vous relatons les faits aujourd'hui démontre le contraire. Celle -ci qui a eu lieu dernièrement dans une localité relevant de la délégation de Nassrallah a coûté la vie à un jeune homme. Ils étaient pourtant deux bons amis ; disaient tous ceux qui l'ont connus. L'un est gardien dans une ferme agricole l'autre est plâtrier. Le jour des faits ce duo s'est fixé un rendez-vous près d'un parc appartenant à une administration pour passer de bons moments autour de la dive bouteille. Soudain l'un d'eux (Le Gardien) regarda fixement son ami quelques minutes qui furent suffisantes pour lui rappeler d'une rixe qui avait eu lieu quelques années auparavant. La beuverie se tourna brusquement au drame. Le Gardien n'en pouvant plus devant celui qui l'avait humilié dans le passé devant les habitants du village. Il fit sortir son couteau qu'il cachait dans les poches de sa veste et asséna à son -ami- plusieurs coups violents au niveau du thorax qui furent suffisants pour que ce dernier passe de vie à trépas. Pour le meurtrier la vengeance a finalement eu lieu mais à quel prix ? Ce dernier est sous les verrous il attend son jugement Vol d'une mule Ce sont des énergumènes qui rodent le jour , les poings dans les poches crevées à la recherche d'une maison ou d'une épicerie à cambrioler ou d'une une étable à voler. Dernièrement deux délinquants originaires de la localité de Nahala de la délégation d'Ousseltia au moment où ils effectuèrent leur ronde habituelle dans les vergers d'abricotiers de Ain Jloula furent attirés par la présence d'une mule appartenant à un gardien d'une ferme agricole. Après avoir fixé leur proie les deux malfrats attendirent la tombée de la nuit pour passer à l'action. Ils laissèrent leur camionnette dans un Oued à quelques centaines de mètres des lieux et s'emparèrent facilement de la bête. Le lendemain le pauvre gardien qui constata la disparition déposa une plainte au poste de la garde nationale contre les voleurs. Ces derniers après avoir chargé la bête dans leur camionnette prirent la direction du marché hebdomadaire de Cherarda avec l'espoir de vendre chèrement la mule volée car ce genre de bête est encore très utile pour labourer des vergers inaccessibles aux tracteurs. Cette bête attira l'attention des agents de la garde nationale de cette ville qui se dirigèrent alors vers les deux jeunes vendeurs pour effectuer un contrôle routinier. Ces derniers nièrent au début être les propriétaires de la bête, indiquant aux agents qu'ils sont là par coïncidence à la recherche de moutons à vendre avant d'avouer leur forfait. Les deux voleurs sont actuellement en état d'arrestation dans l'attente de leur comparution devant la justice alors que la bête retrouva son étable et son propriétaire.