Une communication téléphonique émanant d'un citoyen de la région de Soualmia de la délégation de Nassralllah signalant la présence d'un corps sans vie d'un citoyen au fond d'un oued est parvenue au poste de la garde nationale de la région. Arrivés sur les lieux les agents de la garde nationale n'ont pas remarqué de traces apparentes sur le corps de la victime âgée de 35 ans. Sa famille présente sur les lieux au moment de l'enquête aurait indiqué aux enquêteurs que leur proche qui rentrait tard la nuit du drame après avoir assisté à un mariage organisée dans le coin aurait glissé mortellement au fond de l'oued d'El Mraidia(7mètres de profondeur). Le corps de la victime fut évacué vers l'Hôpital d'El Aghaliba de Kairouan où une autopsie devait être effectuée. Celle-ci déterminera les causes réelles de cette tragique disparition. ------------------------ Foin et paille en feu Malgré toutes les campagnes de sensibilisation menées par les autorités concernées à travers les différents médias et après l'incendie qui ravagé les broussailles du lac d'El Hroug et celui de Jebel El Halfa de la délégation d'Ousseltia survenus dernièrement, voila un autre incendie qui se déclare dans un hangar appartenant à un citoyen de la localité d'Ouled Ayar relevant de la même délégation venant à bout d'une meule de foin et de paille emmagasinés dans cet endroit pour servir en temps de disette. Environ cinq cent pièces entreposées dans ce hangar destinées à nourrir le bétail furent d'un seul coup incendiées. Il a fallu l'intervention de la protection civile et des forestiers pour maîtriser non sans difficulté le feu qui s'est propagé dans le local pour ne rien laisser derrière. C'est le fils du propriétaire de céans âgé de six ans qui en jouant avec une boite d'allumette délaissée par sa mère ; prés d'une tabouna non loin du hangar qui aurait allumé le feu qui a ravagé ledit hangar. ------------------------ Les parents payent les pots cassés Si leurs trois complices sont encore en cavale ; les quatre malfrats qui furent arrêtés dernièrement pour avoir gâché une fête de mariage célébrée dernièrement dans une région rurale de la délégation de Chebika (voire notre édition de vendredi dernier) viennent d'être libérés après le retrait de la plainte déposée par la victime ( le père du nouveau marié et organisateur de la fête) à la suite d'un compromis avec les parents de ces malfrats qui ont payé tous les dégâts à savoir acheter de nouvelles tables des chaises et les micros cassés avant de remettre la totalité du Rmou ramassé (3000 Dinars environ) au plaignant. Et ce sont toujours les parents qui payent les pots cassés.