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«Avec peu de moyens, on a réalisé les exploits les plus inimaginables»
A bâtons rompus avec Hédi M'hirsi (président de la Fédération Tunisienne de Judo)
Publié dans Le Temps le 22 - 08 - 2010


«Les statuts des fédérations sont anachroniques.
Il faut les amender, d'urgence»
«L'hégémonie du judo tunisien sur le plan africain et son rayonnement mondial sont le fruit d'un travail scientifiquement planifié»
A une dizaine de jours des championnats du monde prévus à Tokyo et après une saison faste à tous les niveaux pour le judo tunisien, nous avons jugé utile de nous entretenir avec M. Hédi M'hirsi. Toujours accueillant et chaleureux, le président de la fédération tunisienne de judo s'est montré d'une extrême gentillesse et d'une grande disponibilité pour un entretien de presque deux heures dans son bureau au siège de la FTJ.
Le Temps : Tout d'abord, quel bilan faîtes-vous sur la saison 2009-2010 ?
Hédi M'hirsi : (sans la moindre hésitation). Je crois que le bilan est largement positif, avec des résultats très probants et des performances de taille. Sur le plan mondial, la Tunisie par le biais de Houda Miled, a obtenu la médaille de bronze au championnat du monde organisé à Rotterdam. Il s'agit d'une première médaille mondiale chez les seniors filles.
Au championnat d'Afrique seniors au Cameroun, la Tunisie s'est distinguée de mille feux pour remporter le sacre par équipe, filles et garçons. A part Anis Chadly, tous sont des jeunes appartenant à la catégorie des juniors comme quoi, nous aspirons toujours à de lendemains meilleurs, en lançant dans le bain des néophytes pour avoir l'expérience internationale requise et se frotter à des concurrents d'une pointure plus grande.
Chez les juniors, le titre africain est également revenu à la Tunisie qui s'est admirablement distinguée le mois dernier à Dakar, pour terminer première aussi bien chez les garçons que chez les filles. Nous espérons que nos cadets sauront préserver cette hégémonie lors du prochain CAN prévu au mois de novembre prochain à Casablanca (Maroc). Sur le plan international et africain, la Tunisie ne fait que confirmer son image de marque et sa bonne réputation comme étant leader d'Afrique.
Sur le plan national, les motifs de satisfaction sont également nombreux. Toutes les compétitions se sont déroulées dans les règles de l'art. Aucun accident susceptible de mettre la carrière d'un joueur en péril, n'a été enregistré. Et là, c'est l'essentiel, car, rien ne vaut la bonne santé d'un individu. Pour la vulgarisation de ce sport et partant de notre politique orientée vers la décentralisation, les finales se sont déroulées à l'intérieur du pays.
Tous ceux qui nous suivent de près ne peuvent que reconnaître ces acquis. Toutefois, il ne faut guère dormir sur ses lauriers, pour rester au diapason de l'évolution de ce sport dans le monde. Ainsi, j'appelle toujours au travail. Je suis exigeant, certes, mais le travail est la seule voie de la réussite. Je veux dire par là, le travail au quotidien, avec le sérieux requis, l'effort et la persévérance.
Comment expliquez-vous la domination tunisienne tant sur le plan arabe que celui africain ?
Les moyens mis à la disposition de nos judokas (l'élite), le sérieux du cadre technique, une programmation rationnelle, un suivi médical et mental. Un travail basé sur des critères scientifiques, tel est le secret de l'épanouissement du judo tunisien sur le plan africain. Pour répondre à votre question, on ne peut guère parler d'un championnat arabe dans la mesure où c'est l'anarchie qui domine l'Union Arabe de Judo et qui n'a rien de comparable avec le sérieux et les structures dont se distingue l'Union Africaine de Judo.
Quels sont les objectifs pour la prochaine saison ?
C'est une saison délicate puisqu'elle précèdera les Jeux Olympiques de Londres 2012. Dans cette perspective, nous avons 5 objectifs que nous sommes appelés à atteindre avec évidemment l'appui de la tutelle. Sincèrement je demeure confiant car je suis toujours optimiste. Je suis conforté davantage dans cet optimisme par les changements opérés au sein de la direction générale des sports, je veux dire par là l'évolution dans la gestion des affaires sportives, pour relever les défis du sport tunisien sur le plan international.
En ce qui concerne les objectifs je cite les JO de Londres, les championnats du monde à Paris en août 2011. (Qualificatifs pour les JO), les grands Prix et Grands Slams qualificatifs pour les JO,les Jeux Africains de Mozambique (Septembre 2011),les Jeux Panarabes.
Chez les juniors nous entendons conserver la couronne africaine, en Libye (juillet 2011). Le championnat du monde en octobre 2011 à Cap Town (Afrique du Sud)
Chez les cadets, nous visons le leadership maghrébin à l'occasion des championnats maghrébins qui auront lieu en Algérie au mois de novembre 2011.
Quel est l'apport des grands clubs (les clubs riches) dans l'émergence du judo tunisien ?
Malheureusement, à part le Club Sfaxien qui continue à bien encadrer la section de judo, ou alors l'Etoile du Sahel qui a repris ses activités la saison écoulée avec tout le sérieux requis et qui finira par avoir de bons résultats, à part ces deux clubs – répertoriés parmi les grands- la contribution des autres est insignifiante pour ne pas dire inquiétante, là, je fais allusion à l'Espérance. Malgré la désignation d'un grand champion, Skander Hachicha pour présider la section, l'Espérance a beaucoup perdu de son rayonnement. Pourtant elle a les moyens d'exercer son hégémonie, comme le faisait autrefois quand 80% de son effectif appartenait à l'ossature de l'Equipe nationale, aujourd'hui elle n'en a même pas 5%. Il faut dire aussi que jadis, l'Espérance disposait de sa propre salle, alors qu'aujourd'hui, elle doit attendre la fin des entraînements de l'EN pour prendre le relais dans la même salle à la Cité des Jeunes. C'est pénalisant aussi bien pour le club que pour les jeunes amoureux du judo.
En tant qu'ancien judoka et ex-responsable à l'Espérance, je saisis cette occasion pour inviter M. Hamdi Meddeb, président de l'Espérance à accorder l'intérêt requis à la section de judo et surtout à lui doter d'une salle propre à elle, comme autrefois. Je reste cependant convaincu que cet appel aura du répondant car j'ai confiance en M. Hamdi meddeb. Ah, vous me faites revenir à une vingtaine d'années ou même plus, en arrière quand l'Espérance exerçait une domination sans partage avec un effectif de très haute qualité avec les frères Zaïer, les frères Mahjoub, Mohamed Hosni (actuel directeur général des sports), Matoussi, Ben Gamra, Khiari, sans oublier la gente féminine avec Samira Oueslati, Hajer Tebissi, Ahlem Azzabi (championne du monde juniors) et la liste est longue. Quand je me rappelle cette période d'or de l'EST et je la compare avec sa situation aujourd'hui j'éprouve un pincement au cœur.
Quant au Club Africain, ses activités en judo sont gelées depuis…1979.No comment !
L'engouement et la passion des petits clubs sont ils suffisants pour assurer des lendemains meilleurs à cette discipline ?
Non. La volonté des responsables de ces clubs et leurs sacrifices ne suffisent pas pour rester fidèles au haut niveau, car il leur manque beaucoup de moyens (finances – hébergement – transport, restauration, équipements, salaire des entraîneurs, etc…). Ceci ne m'empêche pas de saluer chaleureusement ces hommes qui travaillent par amour et passion pour le judo et dans l'intérêt, bien sûr, du sport national.
Il faut, encourager davantage ces clubs, surtout que la pratique du judo est gratuite, en comparaison avec les autres sports de combat comme le Karaté, le Taekwondo, le King-Boxing, etc)
La FTJ est telle une locomotive sans compartiments, car les clubs trouvent du mal à suivre la fédération. Non ?
La Fédération de Judo a un avantage appréciable par rapport aux autres fédérations car la majorité écrasante de ses membres fédéraux sont des judokas. C'est dire que notre politique est claire : transparence, concentration et entente.
Et puis la FTJ a eu le privilège d'avoir un directeur technique de grande envergure, en l'occurrence M. Abdelmajid Senoussi, promu, directeur des sports d'élite au Ministère.
Sans oublier également la disponibilité quotidienne et permanente du président de la FTJ qui est toujours là, veillant au bon déroulement des affaires administratives et du suivi technique.
A propos de la FTJ, pourquoi tarde-t-elle, toujours à désigner un directeur technique national après le départ de Abdelmajid Senoussi ? Est-ce que les compétences font défaut ?
D'abord, on ne peut pas remplacer, du jour au lendemain, un directeur technique national comme M. Abdelmajid Senoussi qui a passé 18 ans à la fédération où il a accompli un travail colossal. N'oubliez pas qu'il était l'entraîneur du champion du monde, Anis Lounifi.
Dès mon arrivée à la FTJ en 1993, Senoussi entraînait le CSS et j'ai pris l'initiative de l'engager à 33 ans comme entraîneur national. Un choix courageux car depuis, les résultats ne cessent de nous donner raison et puis les performances réalisées sous l'ère Senoussi sont encore inégalées jusque-là. C'est pourquoi il est difficile de lui trouver un successeur, ayant la même étoffe.
Le budget alloué par la tutelle à la FTJ est-il suffisant pour mener les préparatifs en vue d'obtenir une médaille olympique ou un titre mondial ?
Non. Le budget ne suffit même pas pour les championnats d'Afrique et s'avère peu signifiant par rapport au budget alloué, à titre d'exemple, à la fédération algérienne de judo qui est 10 fois plus que le nôtre. Malgré cela, nous sommes les meilleurs en Afrique et supérieurs à tous les pays du continent comme le prouvent aisément nos résultats. C'est l'amour de la patrie et le dévouement pour les couleurs nationales qui transcendent nos athlètes afin de donner le meilleur d'eux-mêmes dans les différentes compétitions auxquelles ils participent.
Espérons qu'avec la nouvelle direction générale des sports, notre budget sera revu à la hausse. Je lui fais confiance car elle est d'ores et déjà consciente des difficultés rencontrées par les fédérations des sports individuels. Pourtant, ce sont ces sports là qui procurent souvent à la Tunisie toutes les joies et tout le bonheur.
La décentralisation des manifestations de judo a-t-elle apporté ses fruits ?
Il s'agit là d'un choix prôné par la Fédération. Cette politique a fait l'unanimité dans la mesure où elle a sérieusement allégé les dépenses pour les clubs. Et puis, c'est le meilleur moyen pour la vulgarisation de cette discipline sportive, dans tous les coins du pays. Malheureusement, le problème réside parfois dans le chevauchement de la programmation des autres activités sportives dans une même salle (Sousse, Kairouan).
La Tunisie s'apprête à participer au Mondial de Tokyo. Quelles sont ses chances ?
Nous allons participer avec trois filles et un garçon (Houda Miled, Nihel Cheikhrouhou, Amani Khalfaoui et Anis Chadly). Chez les filles, malgré une préparation moyenne, nous espérons réaliser quand même de bons résultats. Ne sont-elles pas les champions d'Afrique.
Pour Anis Chadly, il s'est contenté d'une préparation en Tunisie et dans des conditions difficiles. Il est capable du meilleur comme du pire, mais ils vont partir à Tokyo avec l'intention de suer à fond et de donner le meilleur d'eux-mêmes.
La FTJ est l'une des rares fédérations qui ont réussi dans leurs œuvres, comme le prouve ce record de titres dans son palmarès, même des titres mondiaux. Quel est le secret ?
Franchement il n'y a aucun secret mais quand on travaille dans une excellente ambiance où l'entente est parfaite entre toutes les parties composantes, il va de soi que nous tirons tous dans la même direction. Et puis le Bureau Fédéral est composé dans sa majorité des ex-judokas de haut niveau. En France, par exemple, tous les membres (12) du Bureau Fédéral sont des ceintures noires. Et puis pour arriver à ce stade relevé, nous autres responsables faisant partie de la Fédération ,avons eu la chance de côtoyer, dès notre ascension, pas moins de 14 entraîneurs nationaux japonais. L'école japonaise nous a inculqué les valeurs nobles du judo auxquelles nous restons éternellement fidèles : Discipline – respect- culture- sincérité- persévérance dans l'effort, fair-play. Des principes fondamentaux constituant l'essence et la noblesse de ce sport.
Les Fédérations ou plutôt quelques fédérations dont la FTJ ont proposé à la tutelle l'amendement des statuts. Sur quelle base a été construite votre proposition ?
C'est une question assez intéressante qui reste en relation avec notre avenir. Lors de la présentation des statuts, on a suggéré la révision de quelques articles qui sont devenus anachroniques. Seulement la tutelle a préféré garder ces même textes, à titre d'expérience.
Or, partant de ma large expérience dans ce domaine, j'ai constaté la faillite de ces textes. Exemple, un membre fédéral sachant au préalable qu'il va partir au terme de son mandat, devient un fardeau pour la Fédération, car démotivé, il n'est d'aucune utilité, sauf de bénéficier de quelques privilèges éphémères. Ce genre de responsables ne sert à rien et fait du tort au sport national. Pour combler ces lacunes, le choix des Fédéraux doit être fait par la base. Et il n'y a pas d'autres choix. Le parachutage est paralysant pour le progrès et l'émergence de sport tunisien.
Les statuts de la Fédération doivent être conformes à ceux de l'Union Africaine de Judo. C'est l'instance africaine qui fait la transition entre la Fédération et la Fédération internationale. Nous sommes alliés à l'Union Africaine et non à la Fédération Internationale. Et puis, il ne faut pas oublier que le judo est un sport spécifique, c'est-à-dire ,qu' il doive être gérer par des judokas et non pas des intrus. Ceux-ci n'ont pas de place en judo. C'est comme ça que ça se passe dans les pays développés en la matière comme le Japon et la France et même en Algérie bien que nous lui soyons supérieurs.
Quels conseils donneriez-vous aux jeunes générations ?
Pratiquez le sport, le sport est facteur d'équilibre social. Pratiquez le judo car il a toujours été, un sport d'élévation morale, d'échange de culture et de civilisations. C'est aussi un sport pratiqué depuis son lancement en Tunisie par de futurs cadres et des personnes instruites. Il n'est pas indifférent que des ex-judokas soient aux commandes de grandes structures intellectuelles et artistiques en Tunisie et de par le monde. Votre rédacteur en chef est d'ailleurs aussi l'un des nôtres.
Un dernier mot ?
Ce sont des souhaits et des remerciements.
Je souhaite que les sports individuels bénéficient d'un égard identique à celui des sports collectifs
Je voudrais, par ailleurs, remercier le Ministre de la Jeunesse et des Sports pour son soutien moral et financier pour le Grand Prix de Tunis. Je tiens à remercier également, le président du CNOT.
Entretien conduit par Raouf CHAOUACHI
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Hédi Mhirsi digest
Ceinture noire (7ème Dan)
Arbitre mondial depuis 1985
(5 Jeux Olympiques – 9 championnats du monde – 24 championnats d'Afrique)
Arbitre continental depuis 1979
Arbitre national depuis 1969
Entraîneur-joueur à l'Espérance de 1969 à 1979
Membre du comité directeur de l'Espérance, chargé des sports individuels de 1979 à 1982
Trésorier de la FTJ de 1982 à 1985 puis 1er vice président de la FTJ chargé de la trésorerie
Président de la FTJ de 1993 à 1997 (1e mandat)
Président de la FTJ depuis le 4 décembre 2000.
Trésorier général de l'Union Africaine de Judo
Trésorier du CNOT de 2004 à 2008
Vice-président du CNOT depuis 2009


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