Suite à la réconciliation historique entre Mongi Bhar le président Hammam-Lifois et Adel Daadaa, une personnalité sportive de la ville connue pour son attachement pour les verts mais interdite de Bureau par les autorités de l'ancien régime, certaines composantes n'apprécièrent que médiocrement pareil rapprochement pour des raisons propres à elles et qu'il ne nous appartient point de deviner en l'absence de griefs concrets. Ils se mirent de sitôt en campagne pour semer la discorde entre les membres du BD d'une part et ceux de la nouvelle vague nouvellement intronisée comprenant notamment les Adel Daadaa, Talel Ben Mustapha, Samir Mouelhi, Kamel Khalil, etc. Dans le dessein de clarifier la situation, nous avons abordé Adel Daadaa,le principal intéressé dans cette affaire pour connaître son point de vue et sa position : « Je reconnais avoir été marginalisé par le passé par l'ancien régime pour mes idées et mes appartenances idéologique et politique. Mais maintenant que les choses ont diamétralement changé, je tiens à venir en aide à mon club, à mes couleurs. C'est une solide tradition bien établie dans notre famille. Mon père commerçant de la ville le faisait dans le passé depuis la présidence du club par feu Sadok Bousoffara avec cette argumentation : Quand le CSHL va bien, les répercussions et les retombées sont inestimables pour les affaires et pour le commerce. Pour le redressement de la ville dans tous les domaines Mais je précise que je ne brigue nullement et en aucun cas la présidence du club. Je ne tiens aucunement à postuler à ce titre mais seulement il me tient à cœur d'aider et de me rapprocher de mon club. Malheureusement, certaines personnes malintentionnées ont saisi cette opportunité pour tenter de « pourrir » le climat sportif à Hammam-Lif avec des racontars et des médisances qui n'honorent guère leurs commanditaires. Rapidement, les choses sont allées très loin et ont pris une tournure dangereuse risquant de déstabiliser et de miner les assises de notre club. Chose que je ne souhaite et ne cautionne nullement du reste. Notre ville largement marginalisée jusque là par le passé a grandement besoin de toutes ses forces vives pour entreprendre enfin son redressement et pas seulement sur le plan sportif, mais dans tous les domaines social, culturel, infrastructure, logistique, etc. Pareilles ambitieuses visées ne pourraient se réaliser qu'en nous unissant tous, en mettant à côté les dissidences et surtout en ne prêtant guère le flanc aux fauteurs en eau trouble. Les vrais Hammam-lifois sont appelés plus que jamais à se serrer les coudes et à venir en aide à leurs couleurs mettant en bémol tout ce qui est de nature à freiner la propulsion de notre club vers les cimes et l'amélioration du quotidien dans notre ville. »