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Mounir Balti, Jamel El Atrous et Rafaâ Ben Achour, sérieuses « alternatives » CA: Kamel Néji proposé pour la présidence…mais il ne sera « disponible » qu'en décembre prochain
Le communiqué qui nous est parvenu du Club Africain ne nous dit pas tout. Il fait allusion aux réunions tenues par les « sages » et de leurs intentions de trouver des solutions aux problèmes vécus par l'équipe de Bab Jedid et c'est tout. Aucun nom cité pour succéder à Kamel Iddir, ni à Marchand et encore même pour renforcer l'effectif des « Rouge et Blanc ». cela ne suffit pas pour calmer la colère des supporters « Rouge et Blanc »...
Kamel Néji tient la corde Plusieurs noms ont été cités pour succéder à Iddir. On commencera par Mounir Balti qui aurait fait preuve d'enthousiasme à l'idée de devenir le 1er responsable du Club Africain, mais le déficit accusé à la fin de cet exercice (600 mille dinars), cumulé à celui déjà existant (1 milliard de nos millimes) semble le dissuader de se porter volontaire. Rafâa Ben Achour, figure bien connue des clubistes, a lui aussi été contacté. Il a été secrétaire général du Club Africain à 26 ans et son CV plaide en sa faveur. Actuellement à l'étranger, il sera de retour à Tunis dans quelques jours. Le nom de Jamel Atrous a été également évoqué. On lui aurait proposé d'être vice-président, mais son entourage lui aurait conseillé de n'accepter que le rôle de président du Club Africain.
Enfin, Kamel Néji, PDG d'une banque, semble le mieux placé pour s'occuper du Club Africain Toutefois, Kamel Néji, qui n'aurait pas décliné la proposition a fait savoir à ses interlocuteurs qu'il ne sera pas disponible avant le mois de décembre prochain.
Le déficit a doublé En attendant de connaître le nom de celui qui sera à la tête du Club Africain dans les jours à venir, les finances du club vont de mal en pis. Le déficit a plus que doublé passant de 600 mille dinars à 1 milliard 600 mille dinars. C'est plutôt bizarre quand on se rappelle les points de presse mensuels de Kamel Iddir au cours desquels il mettait en exergue derevenus le la boutique, les recettes des stades et le soutien de sponsors. A croire que tout allait bien dans le meilleur des mondes. Actuellement, on n'entend plus parler de lui . Logiquement, il aurait dû clarifier sa position, annoncer publiquement sa démission et révéler les raisons qui l'ont poussé à mettre un terme à sa mission.
La politique de l'autruche qu'il a adoptée en fin de compte nuit au Club Africain et à sa propre personne parce que de Kamel Iddir on ne gardera que l'image d'un président incapable de mener sa barque à bon port et qui, à la limite, n'avait pas les dons d'un bon « slaipper »... C'est vraiment dommage parce que le président sortant du Club Africain mérite un meilleur sort. D'autant plus que dans sa vie professionnelle, il était un bon gestionnaire