Sur la route de la Marsa (au niveau de Aïn Zaghouan), une forêt épargnée par l'invasion du béton a été transformée en un agréable parcours naturel et fleuri qui s'annonce un poumon pour l'avenir dans une zone en plein boom immobilier. Un peu plus loin, sur la même route mais au milieu de la Cité, un gros chantier file des cauchemars aux citadins. Outre le fait que des générateurs font du bruit toute la nuit, que la poussière a presque couvert les maisons les plongeant dans une tristesse « saharienne »... le pire danger, ce sont les gros engins qui circulent dans les ruelles. Ainsi, cette semaine, un gros camion a agrippé une voiture de tourisme et l'a traînée jusqu'au bout de la rue. Non seulement, il n'a pas laissé de mot sur le pare-brise mais s'il avait « manœuvré » cinq minutes plus tôt, le conducteur aurait passé une sale quart d'heure...