On attend toujours de connaître le nom du successeur de Casoni. Slim Riahi s'es fait un point d'honneur de conclure cette opération dans la discrétion la plus absolue. Du côté du parc A, on essaie de taire et de cacher le nom et la nationalité du futur entraîneur du Club africain pour ne les divulguer qu'une fois l'accord conclu. Une décision que nous respectons mais que nous considérons exagérée. Les supporters clubistes sont les premiers à en pâtir. Ils attendent de connaitre le nom de celui qui s'occupera de l'équipe senior du Club Africain à quelques semaines du coup d'envoi du prochain exercice prévu pour le quatre novembre. Ce retard ne peut pas faire du bien à un club remodelé et comptant sur un effectif à plus de 80% renouvelé.
De nationalité étrangère
Le prochain entraîneur du Club Africain sera de nationalité étrangère. C'est ce qui nous paraît le plus logique d'autant plus qu'il n'est pas question de voir Ben Yahia et encore moins Kanzari atterrir au parc Mounir Kbaïli. L'autre nom tunisien évoqué est celui de Nabil Kouki dont les caractéristiques ne cadreraient pas avec les intentions des responsables clubistes. Sur le plan local, aucun autre entraîneur ne nous paraît capable de prendre en main les rennes techniques de l'équipe senior. Peut-être à l'exception de Kaïs Yâakoubi qui aurait été contacté pour suppléer Belhassen Malouche au poste de DTN. Ceci nous amène à dire que le futur entraîneur du Club africain devrait être un étranger. Il est fort probable qu'il soit également français. De source bien informé, on nous a fait savoir qu'il est fort probable de nommer un manager sportif général. En somme, on se dirige vers la composition d'un triumvirat français avec un seul déjà en place, à savoir le Français Christophe Maillol.
La préparation se poursuit avec Mohamed Mkacher aux commandes. Les clubistes s'entraînent deux fois par jour et le font entre El Menzah et Radès. C'est un choix rendu inévitable a cause de la pelouse du parc A.