Trois membres de la ligue nationale française de handball en l'occurrence le vice président, le directeur général et le responsable du marketing et de la communication viennent de séjourner en Tunisie avec pour mission d'étudier et de discuter des modalités de l'organisation du « Trophée des champions ». Une compétition organisée chaque année (au mois de septembre) par les responsables du handball français dans un pays autre que la France. A titre d'information, les trois dernières éditions se sont déroulées à Monaco. Une compétition qui groupe le champion de France, les détenteurs de la coupe et de la ligue et la meilleure équipe classée troisième en ligue 1 française. Proposition renouvelée à Monaco Revenons un peu en arrière pour rappeler que la FTHB est en contact depuis une année avec son homologue française lui proposant entre autres d'organiser ce fameux trophée des champions. C'est justement dans ce cadre que Karim Helali s'est rendu au mois de septembre dernier à Monaco sur invitation des organisateurs de l'épreuve de 2012. La proposition tunisienne est revenue sur la table des négociations avec à l'appui les garanties de réussite avancées par le président de la FTHB. Facteur qui explique le séjour parmi nous des trois représentants de la ligue nationale du handball français. Cinq salles visitées Ces derniers ont visité les salles de Radès, du Palais des Sports d'El Menzah, de Sousse, de Nabeul et de Hammamet outre quelques hôtels. Les premières impressions recueillies sont plutôt rassurantes. Toujours faut-il attendre la décision finale des responsables du handball français au vu du rapport qui leur sera remis par leurs représentants au terme de leur mission en Tunisie. Conditions sécuritaires Ce n'est pas tout dans la mesure où la Ville de Monaco a fait part, par écrit, de son désir d'organiser pour la quatrième fois cette compétition. La concurrence sera dure mais notre confiance reste totale dans les capacités d'organisation des Tunisiens. Reste à attendre mais surtout à souhaiter une nette amélioration des conditions sécuritaires dans notre pays. Le OUI de la partie française en dépendra en grande partie.