Toujours le même problème récurrent à empoisonner le quotidien du groupe. Les finances moribondes et au plus bas ne permettent pas aux joueurs de s'adonner à fond la caisse à leur travail ayant l'esprit taraudé par une ardoise très lourde non encore honorée et tardant à être définitivement épongée. La marche du club étant jusque-là peu rassurante avec deux défaites pour autant de matches disputés, quatre buts encaissés, mutisme total de l'attaque, et dernière place à la clé. Il est grand temps que ce genre de problèmes soit réglé pour que les troupes parviennent à ne se consacrer qu'à leur travail car la compétition va prendre sous peu sa vitesse de croisière et les points perdus ne seront plus aisément récupérables par la suite. Pour quand la fin des travaux ? Au lendemain de la dernière rencontre disputée et perdue par les béjaois à la maison contre le CA (0-2), la municipalité locale décida la fermeture du stade Bou Jomaâ Kmiti pour réfection d'une pelouse ressemblant beaucoup à un champ de maïs qu'à une aire de jeu et pénalisant grandement les cigognes volet prestation et enchainements techniques sans oublier le risque terrible de blessures graves. Promesse ferme de réouverture du stade aux matches officiels au bout d'un mois. Mais pour l'heure, les choses ne semblent pas aller dans le bon sens côté célérité. Encore heureux que les deux prochaines rencontres des béjaois se déroulent à la capitale respectivement contre les sfaxiens et les Hammam-Lifois. Mais juste après, ils doivent en découdre à la maison si tout va bien avec les tozeurois. Pourvu qu'ils ne soient pas contraints de recevoir les oasiens loin de leurs murs du fait de ces travaux s'éternisant à ne plus en finir !