Les plages interdites à la baignade durant cet été sont au nombre de 21, réparties sur six gouvernorats, à savoir le gouvernorat de l'Ariana (3 plages), gouvernorat de Ben Arous (7 plages), gouvernorat de Bizerte (4 plages), gouvernorat de Nabeul (2 plages), gouvernorat de Sousse (une plage) et gouvernorat de Gabes (4 plages). Gouvernorat de Sousse : (1 seule plage) : Sidi Abdelhamid 2Gouvernorat de l'Ariana (3 plages) : Lotissement Résidence Raoued Plage, Cité des juges, Canal du Golfe (Raoued)Gouvernorat Ben Arous : (7 plages) – La plage située à 100 mètres au nord du bassin versant d'Oued Méliane (Hammam-Lif), la plage en face du centre thermique, la plage en face de la protection civile de Radés, la plage située à 100 mètres au nord du bassin versant d'Oued Méliane Rades, la plage située à 100 mètres au Sud du bassin versant d'Oued Méliane d'Ezzahra, la plage située en face du bassin versant d'Oued El Maizet et la plage située en face de l'oued BoukhamassaGouvernorat de Bizerte (4 plages) : La plage de Baali (Menzel Jamil), la plage du Port de pêche de Menzel Abderrahmane, la plage de Sidi Hachani, Menzel Abderrahmane, et le canal 2 de ZarzounaGouvernorat de Nabeul : (2 plages): La plage en face de la station d'assainissement SE4 à Dar Chaabane et la plage en face du pôle technologique de SolimanGouvernorat de Gabès (4 plages) : La plage Chott Essalam, la plage près du bassin versant dans l'ancien Oued, la rive droite du canal de Gabés et la plage de Ghannouche (Oued Ettin)Le directeur de l'Hygiène du milieu et de la protection de l'environnement auprès du ministère de la Santé, Mohammed Rabhi, a déclaré lors d'une conférence de presse tenue aujourd'hu au ministère de la Santé, consacrée à la présentation des résultats de contrôle de la qualité des eaux de mer durant la période du premier janvier au 10 juin 2019, que son département avait mis en place un réseau national pour le contrôle des eaux de mer, sur 530 points répartis tout au long du littoral.La mise en place de ce réseau, selon Rabhi, intervient en application aux orientations adoptées par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour la classification de la qualité des eaux de mer, considérées comme « plus strictes » que les normes européennes dans les pays de l'Union européenne (UE), dans la mesure où les opérations de contrôle s'effectuent à raison de deux fois durant la saison estivale et avec une périodicité mensuelle pendant l'hiver.