Le propre d'un islamiste est sa manie est sa propension pathologique à se surestimer et se projetter dans un monde halluciné. Il prend ses désirs pour la réalité. Ses vessies pour des lanternes. Il n'existe que dans l'excès et l'exagéraition. Comme tout socipathe et pervers narcissique, superficiel, vide, vaniteux, il a un besoin pathologique de recourir à des artifices et des manoeuvres destinées à doler et tromprer son interllocuteur? à le dauber histoire de lui prouver qu'il est son supérieur , qui'il est au-dessus du panier. Impressionner l'auitre pour pouvoir exister socialement . Il se drape dans les vertus du savoir religieux et intellectuel afin de pouvoir obtenir une reconnaissance à travers un prestige que lui confère un titre, une fonction ou une activité fruit de des délires mythomaniques. Doté d'un ego surdimensionné, il théâtralise agressivement et à l'excès son existence en la mettant en scène pour focaliser l'attention sur lui. En toute évidence, les islamistes tunisiens et en premier lieu le terroriste jamais repenti, R. Ghannouchiet son lieutenant des basses besognes , le dénommé H. Jebali, sont l'archétype même de l'islamiste-imposteur.-usurpateur. En effet, un islamiste ne peut exister que dans la fabulation, la terreur, la fourberie, la trahison, la mégalomanie. Il est le roi de l'esbroufe et l'imposture. Il ment sur tout et en tout. Ses organes vitaux sont un tissu de mensonge. Il est dans sa bulle psychotique où tout se confond et s'entremêle, avec une altération aiguë de ses facultés de discenement. Persuadé de la véracité de ses allégations qu'il ne tolère pas qu'on lui porte la contradiction. Ses assertions sont comme un chäteau de carte, au mondre courant d'air et tout s'écroule. Il vit dans un monde fantasmé et imaginaire dont il veut faire une vérité absolue revêtue du sceau du sacré. Tricheur, hâbleur, il brasse du vent et sème la tempête. Il la sème comme ces nuages de cendres et ces fumées grises opaquess qui laissent derrièrez lui à chaque fois qu'il passe à l'acte destructeur.
Chez lui, il n'y a pas d'autre alternative que la violence aveugle pour faire adhérer l'autre à son discours insensé truffé de contre-vérités et d'absurdités. Déma gogue et entourloupeur, il débite sa litanie d'insanéités, ses boniments et ses feintes comme si elles coulaient d'une source purifiée de toutes les tares humaines,comme si elles étaient l'expression de la volonté divine. Comme tout psychotique, il a une tendance prononcée à la mystique et la mythification des événements, qui sont généralement symptomatiques de ses délires fantasmagoriques.
Ce n'est pas par hasard que les terroristes islamistes tunisiens ont tous aujourd'hui cette fächeuse manie d'usurper des dipômes et des titres universitaires ronflants. R. Ghannouchi Dr autoproclamé de la Sorbonne. Son gendre, le traîne savate devenu Chef de la dilplomatie ifélonne islamiste qui usurpe un titre universitaire, loin de cforrespondre à ses facultés intellectuelles. Etre inscrit en thèse de doctorat ne veut pas dire êrte titulaire de doctorat. Il est à noter que les universités britanniques contrairement à la Françaises ne délivre pas de titre de docteur équivalent au sésame français qui est un bac +8. or, en Angleterre le cycle d'études universitaires est plus court qu'en France. En ce qui concerne, le diplôme du premier agent du terrorisme djihadiste faisant aujourd'hui fonction de premier sinistre du calvaire tunisien, il est sujet à caution. Primo : sauf ou erreur ou omission de ma part, il n'existe pas dans les années 70 une maîtrise spécifique des sciences et techniques en énergies éoliennes . Secundo : ce type de cursus serait est sanctionné par un diplôme de bac +2 en énergies renouvelables délivré par les I. U.T, le C.N.A.M. Tertio : il n'existe pas encore à ce jour des universités françaises habiltées à dispenser et délivrer des dimplômes de cette nature en matière d'énergies éoloiennes. Les écoles d'ingénieurs ne sont pas légion en la matière, en dehors de l'Ecole des Mines de Douai dans un cursus de formation de 3 ans. Quatro : dans un C.V. il est de règle d'indiquer avec précision l'année, le nom de l'université et le lieu d'obtention de son ou ses diplôme(s). Or, le C.V. de cet individu est vaseux et qui est plutôt une synthèse autobiographique de son parcours de militant islamiste tendance soldat de l'ombre. 3 ans d'activité professionnelle sur 44 ans de vie active, cela est révélateur du côté assistanat chez les islamistes. La vertu travail est incompatible avec leur idéologie. On dit dans l'Islam que Dieu n'aime pas les assistés et les fainéants? Autre bizarrerie, ce repris de justice impliqué dans les attentats de Sousse et Monastir, ne maîtrise pas le français, alors qu'il aurait vécu 9 ans en France. Autre zone d'ombre, il ne dit pas s"il a son bac. Il est censé l'avoir obtenu soit en 1987 et au plus tard en 1988. Qu'a t-il fait de 18 à 20 ans avant son son exil en France. De quoi a-t-il vécu pendant tout son séjour en France ? Dans les années 70 justement, la majorité des étudiants étrangers conciliaient études et travail même quand ils étaient boursiers. Ils avaient le droit à un permis provisoire de travail de 20h hebdomadaire. Encore une intrigue islamiste.