La Tunisie en tant que pays magrébin arabe et appartenant au monde méditerranéen accorde une importance significative au développement durable. En effet, ce dernier doit satisfaire les besoins du présent sans pour autant compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs, c'est un développement économique et social équitable dans l'espace et dans le temps et qui tend vers un équilibre écologique à long terme. Cette importance est relevée à partir de la stratégie de développement économique du pays et ses plans d'actions nationaux. Plusieurs programmes régionaux de développement touchent toutes les couches de la population, ainsi que les programmes de développement rural intégré (PDRI) et de développement urbain intégré (PDUI) pour le renforcement de l'infrastructure et des équipements collectifs et l'amélioration des revenus des populations rurales.
Dans ce cadre, des projets apparaissent comme le projet tunisien de l'ITTA (l'institut tunisien des technologies appliquées), le projet zéro déchets et le projet canadien des énergies renouvelables coiffé par Madame Nawel Terkia Derdra, responsable et représentante exclusive de BioCRUDE en Tunisie et en Afrique du Nord Le principal objectif de l'ITTA est d'être le trait d'union entre les sociétés rurales défavorisées et la recherche appliquée des sciences et des technologies appropriées pour la réalisation d'un développement durable, afin de permettre une politique participative d'éco- développement. Mettre à la portée des petits enfants agriculteurs en particulier et de la société rurale en général, par l'information et la démonstration, les acquis anciens et nouveaux des sciences et des technologies adaptées à leur potentiel économique et spécificité socioculturelle afin de leur permettre de mieux maîtriser leurs outils de travail, pour sauvegarder et améliorer leur environnement, leur patrimoine culturel et leur qualité de vie. En effet, les petits paysans ont d'importantes ressources humaines et naturelles, insuffisamment mises en valeur du fait d'un manque de recherche, d'information, de sensibilisation et de vulgarisation ; à cela s'ajoute la carence notable d'un soutien financier adéquat, hormis quelques aumônes. Pour pallier ces regrettables lacunes, l'ITTA avec ses partenaires, ont entrepris plusieurs études, stages et conférences avec le concours de chercheurs tunisiens et étrangers et la participation financière d'organisations internationales et d'ONG. Projet d'assainissement rural alternatif pour la valorisation intégrale des déchets solides et le recyclage des eaux usées de la localité des Ouled Ayar (Testour) mis en place par l'Institut Tunisien des Technologies Appropriées ( ITTA) en partenariat avec le CFPAEB/ Sidi Thabet (Centre de Formation Professionnelle Agricole en Elevage Bovin) et l'ENIT avec le soutien financier de l'Ambassade d'Allemagne à Tunis.
Assainissement produisant des énergies renouvelables Comme il n'y a pas de dispositif d'assainissement pour un village, en milieu rural quand il est connecté au réseau d'eau courante de la SONEDE. La solution préconisée par l'ONAS est de creuser des fosses septiques. Ces dernières se colmatent très rapidement et débordent, parce que les villageois n'ont pas les moyens de se procurer des motopompes et des citernes pour les vider. Ainsi des effluents malodorants coulent à ciel ouvert dans les ruelles, créant une situation d'insalubrité due aux bactéries, moustiques, mouches qui prolifèrent dans ce milieu , ils affectent et infectent, particulièrement les enfants qui jouent à proximité. L'ITTA préconise donc la mise en œuvre de solutions reproductibles par les différents corps de métier du village, agriculteurs, maçons, ferronnier, plombier etc. L'objectif du projet est d'assurer, par l'auto construction, l'indépendance de la société rurale, face à ses besoins, pour assainir son environnement et améliorer sa qualité de vie. Cette dernière ayant des moyens financiers très limités n'intéresse pas les promoteurs privés, parce qu'elle ne présente pas un marché générant d'importante plus-value. Il faut donc qu'elle compte sur ses propres ressources humaines et matérielles pour sortir de l'indigence et de la dépendance.
Technologies appropriées Les technologies appropriées préconisées (bio digesteur, bacs à graisse etc.) n'ont pas seulement l'avantage d'assainir l'environnement du village, elles sont aussi une source de production d'énergies renouvelables qui permettent à la population de faire des économies substantielles d'énergie et d'argent: L'ITTA a les connaissances et les outils qu'il faut pour changer les mauvaises habitudes prises dans un passé récent (60ans), et promouvoir un développement durable avec des technologies respectueuses de l'environnement. Ce projet a pour mission de développer sur une petite échelle, des techniques simples et peu coûteuses, adaptées à la société rurale. Elles ne requièrent pas d'énergie, autre qu'une manipulation raisonnée de l'homme et de la femme. C'est un objectif d'assainissement certes mais aussi de valorisation des déchets.
Pénurie d'eau La finalité de l'ITTA est de faire prendre conscience aux citoyens, de la nécessité à changer leur comportement pour préserver leur écosystème. Qu'ils réalisent aujourd'hui que leur comportement n'est plus isolé comme par le passé, quand ils vivaient dans des sociétés traditionnelles. Ils font partie aujourd'hui d'un ensemble constitué par des milliards d'individus qui ont le même comportement à travers toute la planète. Que toutes les femmes et tous les hommes du monde soient connectés à la société de consommation, totalement mondialisée, avec tous ses effets pervers pour l'environnement, comme l'emploi des pesticides, des engrais chimiques de synthèse, détergents, des antibiotiques etc…qui polluent lacs, et nappes phréatiques d'eau douce qui approvisionnent l'ensemble des populations de la planète en eau potable. Il faut aussi rappeler que l'eau douce ne représente que 2,5% de l'eau répartie sur le globe et que seul 0,05% de cette eau est disponible pour la consommation. Le reste se trouve piégé dans les pôles, les glaciers ou dans les profondeurs de la terre. La Tunisie par son climat aride et semi aride ne dispose approximativement que de 5 milliards de m cube/ an, dont près de la moitié sont des eaux souterraines. D'où l'urgence à recycler les eaux douces usées, à tous les niveaux de la société. Le risque est que si l'on continue à dilapider cette précieuse et rare ressource, il y aura pénurie dans un proche avenir et les générations futures seront confrontées à ce problème crucial pour leur développement et leur bien-être.
Auto construction: nécessité technique et économique pour pérenniser le concept de développement durable Le système d'assainissement préconisé est basé sur le principe du tri sélectif. Ce système permettra de valoriser tous les déchets, liquides et solides. Le concept de déchet devrait être remplacé par celui de gisements, parce qu'ils sont constitués de matières organiques qui sont très précieux, pour la réhabilitation des sols. Les «gisements» (alias déchets) liquides produisent une énergie renouvelable conséquente, avec la fermentation des matières organiques dans les digesteurs de biogaz. Le gaz ainsi produit peut assurer une autonomie aux sociétés rurales pour la cuisson des aliments et le chauffage de l'eau (avec un appoint solaire). Quant aux plastiques, fer, aluminium, carton, verre etc. ce sont des matières premières qui ont un intérêt économique certain, quand elles sont triées correctement. Mais il ne suffit pas d'apporter des solutions adéquates pour résoudre les problèmes de pollution et de dégradation des sols. Il faut aussi pérenniser les technologies introduites, c'est un point fondamental, sinon elles resteront lettre morte. Il faut pour cela initier les villageois à maitriser ces techniques afin qu'elles soient réalisées en auto construction. Ce qui revient à ce que les populations concernées deviennent les acteurs de leur propre écodéveloppement pour sortir de cette politique d'assistés qui a plombé l'initiative personnelle dans le monde rural. Cela est aisément réalisable du fait de la simplicité de ces techniques qui sont à la portée du savoir-faire des maçons, plombiers, ferronniers, qui opèrent dans la plupart des villages tunisiens. Ainsi les artisans des Ouled Ayar ont assisté les techniciens et artisans venus construire le premier digesteur et autres techniques. Ils maitrisent totalement ces techniques. Ils ont réalisé les 4 autres digesteurs en auto construction.
Les technologies appropriées et énergies renouvelables mises en œuvre. 1- le gaz méthane La première mesure pour permettre un recyclage écologique, c'est de séparer les eaux des toilettes de celles des douches et des lavabos. Tout comme le tri sélectif des ordures ménagères. Les eaux usées des toilettes ainsi que tous les déchets animaux et organiques produits par la famille sont véhiculés vers des digesteurs de biogaz. Le gaz méthane est produit par la fermentation anaérobie de la dégradation de la matière organique par différents types de bactéries. Le Biogaz ainsi produit alimente les cuisinières et les fours à pain, en méthane, spécialement conçus à cet effet. Ces fours peuvent être aussi utilisés comme chauffage dans les chambres; ils doivent être au préalable munis de tuyaux en guise de cheminée. Le gaz méthane a plusieurs incidences positives telles: Un impact environnemental, sanitaire (réduire les nuisances dues aux insectes, éliminer les foyers pour les rongeurs quand les fumiers sont stockés en tas près des habitations.) et un impact économique par la production de biogaz qui pourra suffire pour la cuisson des aliments et du pain. Cela évitera l'achat des bouteilles de gaz qui nécessitent beaucoup d'énergie pour leur transport et leur manipulation ; et enfin l'amélioration des rendements agricoles dus à la valorisation du compost.
2- recyclage des eaux des douches et des lavabos L'eau distribuée par le réseau de la SONEDE est très précieuse (barrages, station de pompage, laboratoires d'analyse sanitaire). C'est un gâchis innommable dans des régions arides et semi-arides, comme la Tunisie où elle est rare. Dans ce dessein, l'ITTA adopté un système très simple qui ne nécessite aucune énergie : un système de décantation gravitaire qui au 5eme bassin permet d'obtenir une eau totalement pure. Cette eau sert à irriguer des jardins potagers et de pouvoir produire plusieurs variétés de légumes, de plantes aromatiques qui améliorent leur qualité de vie et leur niveau économique.
3- chauffe-eau solaire La Tunisie bénéficie de 300 jours d'ensoleillement par an. L'énergie solaire passive pour le chauffage de l'eau est une technologie simple. Mais pour celle fabriquée par l'industrie elle est très coûteuse. Pour contourner ce problème, l'ITTA a donc conçu avec le concours du développement Energie Solaire de l'ENIT, un type de réservoir qui ne reçoit plus l'eau de la SONEDE, celle-ci demeure dans les tuyaux qui traversent le réservoir. Ce dernier étant rempli d'une eau chaude connectée avec le capteur en circuit fermé. On évite ainsi la pression de l'eau de la SONEDE, dans le réservoir et la construction du réservoir s'est faite en ciment, facilement réalisé par les maçons locaux. Pour l'isolation, la paille insérée dans une double cloison de briques de 12 trous autour de la citerne en ciment était une parfaite solution, puisqu'elle est disponible dans le milieu rural. Ce chauffage solaire est un succès et remet en cause les prix prohibitifs opérés par l'industrie. En plus il s'intègre parfaitement à l'architecture De ce fait les habitants des villages peuvent construire eux même les capteurs solaires et acquérir ainsi comme pour les digesteurs de méthane une totale autonomie. Le chauffage de l'eau a aussi un aspect important pour la protection de l'environnement, il évite le déboisement opéré par le ramassage du bois pour le chauffage de l'eau, avec toute la pénibilité du ramassage, pratiqué essentiellement par les femmes. L'objectif est donc de démocratiser, ou plutôt, populariser les technologies appropriées et les énergies renouvelables. Les rendre accessibles à la société rurale par l'auto construction.
4- la citerne, pour le stockage de l'eau de pluie, couplée avec un capteur d'air (malkaf) pour une climatisation passive des chambres durant la saison chaude. Depuis la plus Haute Antiquité les populations phéniciennes, romaines, arabes, turques qui ont vécu en Tunisie ont construit des citernes dans leurs habitations, pour capter l'eau de pluie. Ce n'est que ces dernières décennies que l'eau courante a été généralisée par le réseau de la SONEDE. La citerne a ainsi été abandonnée, voir remblayer dans les médinas (villes arabes). C'est une erreur grave, car la Tunisie n'est pas bien pourvue en eau douce. Avec l'élévation du niveau de vie, l'industrialisation, le tourisme, l'agriculture irriguée, il y a un risque de pénurie d'eau dans les décennies à venir. C'est une nécessité économique et sanitaire de revenir au captage d'eaux de pluies qui offrent une qualité supérieure à celles du réseau, souvent très chargées en calcaire, en métaux lourds et en chlore, on apportera ainsi des solutions crédibles et durables, nécessaires à l'évolution de notre société. Il y a quelque part une méconnaissance des problèmes de pénurie à venir. Au contraire ces structures de collecte et de stockage d'eau de pluie devraient être systématisé et intégré au cahier des charges du permis de bâtir de toutes les habitations. Elles permettent de réaliser une économie substantielle pouvant satisfaire la plupart des besoins domestiques. Elles peuvent représenter la capacité de plusieurs barrages. Nous avons de ce fait complété la stratégie d'économie d'eau par la réalisation d'une citerne plus économique en évitant l'utilisation du tout béton, la rendant ainsi accessible économiquement à la société rurale. Elle est construite en briques, en forme circulaire. Cette technique est utilisée pour la construction des puits. Elle annule la pression du sol et évite les fissures. La citerne a été totalement réalisée par les villageois.
5- El Malkaf (capteur d'air frais) Afin d'améliorer la qualité de vie de la famille, l'ITTA a réalisé un capteur d'air frais «Malkaf» pour rafraichir l'atmosphère des chambres, durant les mois d'été. Une sorte de climatiseur à énergie passive, très simple à réaliser en auto construction. Le principe est de capter par une tour à vent, de l'air qui passe par l'atmosphère très fraîche et humide de la citerne. Il est ensuite véhiculé dans les chambres. Cette technique est utilisée au moyen orient, les pays du Golf et particulièrement en Iran. Elle n' a jamais été réalisée en Afrique du Nord. Il existe une technique qui s'apparente au «Malkaf» à DJerba et dans le M'Zab en Algérie, une chambre haute, type «sedda» qui véhicule de l'air frais dans les maisons. A titre de conclusion, et dans l'état actuel de nos connaissances en matière d'énergies renouvelables, nous pouvons rompre avec les comportements inconscients et laxistes, qui génèrent des pollutions intolérables, dues aux décharges des ordures ménagères et aux effluents d'égouts qui coulent à ciel ouvert dans les ruelles des villages ruraux du tiers-monde. Elles sont un fléau pour la santé des habitants, particulièrement celles des enfants qui n'ont pour la plupart du temps que ces ruelles comme terrain de jeu. Elles génèrent aussi mouches et moustiques qui sont des vecteurs de maladies et d'inconfort. Enduite ces effluents polluent en aval, les rivières et les lacs qui sont des sources majeures d'eau douces pour l'eau potable et l'irrigation agricole, ces lacs et ces rivières sont vitaux pour la survie de nombreuses espèces animales et végétales (biodiversité), et aussi pour l'homme dont la principale cause de mortalité enfantine est justement due à l'insalubrité de l'eau potable.
BioCRUDE, un triple performance écologique, énergétique, sociale Créée le 9 janvier 2007, son activité principale porte sur le développement de technologies vertes novatrices, particulièrement dans le domaine de la gestion de déchets et de la transformation des déchets à la production d'énergie. Ces méthodes et technologies sont applicables aux besoins de nombreuses industries, établissements, voire de pays entiers. Contribuer auprès de la communauté mondiale à la lutte contre la dégradation de l'environnement est une décision morale présentant des avantages financiers. Les banques et autres responsables de grands marchés financiers ont découvert le potentiel des sociétés de technologie verte et comptent maintenant dans leur portefeuille des parts qu'ils considèrent comme un placement sûr.
Activités de la société La société a développé des produits efficaces rentables et en conformité avec le respect de l'environnement, des processus et systèmes de transformation et de gestion des déchets ainsi que la création d'énergie renouvelable. Une des activités dans lesquelles la société est spécialisée est la transformation des déchets solides urbains ou municipaux (DSM) par l'utilisation de nos inventions et notre savoir-faire dans la transformation de déchets intégrés en complexes de production d'énergie. Connaissant la nature non homogène et les caractéristiques des déchets, nous pouvons définir des méthodes distinctes pour traiter les différentes sortes de déchets (les DSM peuvent être classés comme des matières organiques, des combustibles, des matières recyclables, inertes et autres), après les avoir isolées à l'aide d'un procédé efficace de séparation.
Pays émergents L'électrification des pays émergents représente un marché vaste et lucratif pour les systèmes qui peuvent produire des sources d'énergie renouvelable. Les systèmes et la technologie de BioCRUDE cadrent parfaitement avec les programmes gouvernementaux qui visent à amener leurs populations à la modernité. Aucun autre système (éolien et solaire par exemple) ne contribue autant à la résolution des problèmes liés à la gestion des déchets, au traitement des eaux et au contrôle des maladies qui y sont liées. Plus de 2 Milliards de ménages n'ont jamais eu accès aux équipements et installations électriques ou même appropriés de cuisine et de conservation des aliments.
Technologies et produits appropriées En somme le système BioCRUDE consiste en la réalisation de produits et procédés par des techniques professionnelles de management et de leadership reconnues dans le secteur de la transformation de déchets, produisant ainsi des sources d'énergie utilisables et commercialisables et leurs dérivées. Les produits finis vont du méthane/gaz naturel, de l'éthanol, du biodiesel, de la chaleur/pression pour l'engrais. Nos produits et nos procédés ont prouvé avoir un impact positif sur les procédés de compostage et de bio-méthanisation, réduisant ainsi les facteurs liés au temps, à l'odeur et aux coûts de production, tout en augmentant le rendement.
Objectif du projet Le but est simple c'est de produire des sous-produits renouvelables respectant l'environnement, utilisables et commercialisables comme les biocarburants pour la fourniture d'énergie, l'engrais de qualité supérieure et d'autres sous-produits obtenus par des procédés (le noir de carbone par pyrolyse et la glycérine par transestérification).
Transformation de Déchets Intégrés en Complexe D'énergie Proposée ; cas de la Ville de Tunis, Tunisie Sur une population de 3,980 millions de personnes la moyenne de déchets produits est de 650 kg par personne et par an. Il faudra installer trois modules pour la production d'énergie, à raison de 2000t/jr de DSM. L'espace requis est de 8 à 10ha par module
Coût d'exécution? Une prévision de coût total d'exécution d'environ 60 Millions USD est requise par complexe de traitement en énergie de 2000t/jr de DSM, soit de 180 Millions USD pour les trois complexes de traitement et ce afin de produire approximativement 34.8 MW/h d'énergie intégrée et des sous-produits commercialisables (engrais de qualité de qualité supérieure). Le financement de ce projet est apporté et assuré par l'investisseur BioCRUDE, M..John Moukas et cela permettra évidemment de créer des emplois par l'embauche d'une centaine d'ingénieurs et de main-d'œuvre tunisienne en plus des baisses qui seront répercutées sur le coût de l'électricité. Cette société est capable de satisfaire à plusieurs, voire à tous les besoins directement liés à la gestion de déchets de la ville de Tunis, avec son complexe de traitement de DSM en énergie intégrée, tout en aidant la ville à honorer ses engagements sociaux et ce, de façon économique et écologique.
