Najah Dali en suivant les réactions des pays et notamment ceux qui ont un poids pour faire bouger les négociations sur l'avenir du climat, n'a pas encore remarqué une déclaration ou une réaction des pays de l'Amérique du nord à part celle du canada qui envisage quitte Kyoto même avant d'arriver sur les lieux de la conférence sur le climat qui se tient à Durban, Afrique du Sud. Jusqu'a-à date on entend selon Najah Dali que la voix des africains et surtout de la chine Bien que les Etats Unies sont les leaders dans les technologies des énergies renouvelables et notamment l'éolien, il est les pionniers selon Najah Dali dans le pourcentage mondiale de l'émission des gaz à effets de serre, avec plus de 25% du pourcentage mondiale. Voila, pour stipuler l'action des Etat Unies, Najah Dali a appris que Seize organisations non-gouvernementales américaines ont exhorté les Etats-Unis à ne pas freiner les négociations climatiques, dans une lettre adressée à la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, a déclaré jeudi l'organisation Oxfam.
Ces organisations dont, le Fonds américain pour la défense de l'environnement et America, exhortent le gouvernement américain de bouger pour sauver la terre contre le réchauffement climatique et de ne pas affaiblir les efforts et surtout les négociations en cours à Durban pour trouver un compromis pour baisser la température du globe et aider les pays vulnérables en créant le Fonds vert pour le climat (GCF). En principe il était convenu de mobiliser 100 milliards de dollars d'ici 2020 pour aider les pays en voie de développement et en particulier les plus vulnérables à réduire leurs émissions de carbone et à s'adapter au changement climatique.
D'après Najah Dali, le rejet des Etats Unies la création du Fonds verts pour l'environnement Le rejet du GCF par Washington, qui a été fortement appuyé au Danemark, Cancun et en passant par Bali, risque de compromettre toutes les futures négociations et un vraie échec non pas seulement du protocole de Kyoto, de toutes les autres actions nécessaires pour sauver la biodiversité et lutter contre la pollution et la lutte contre la désertification et la sécheresse.
Le GCF exige que les pays développés fournissent 100 milliards de dollars aux pays moins développés d'ici 2020 pour les aider à réduire leurs émissions de carbone et à s'adapter au changement climatique.