La Cour d'appel de Paris a condamné, jeudi 16 février 2012, Jean-Marie Le Pen, l'ancien président du Front national, à trois mois de prison avec sursis et à 10 000 euros d'amende. Il était rejugé après une cassation pour avoir déclaré en 2005, dans le journal d'extrême-droite Rivarol, que l'Occupation allemande n'avait pas été “particulièrement inhumaine, même s'il y eut des bavures, inévitables dans un pays de 550 000 kilomètres carrés”.