Mustapha Kamel Ennabli, Gouverneur de la Banque Centrale, répond aux déclarations de Moncef Marzouki Les déclarations de Mustapha Kamel Ennabli en réponse à Marzouki feront la une des divers médias. Le Gouverneur de la Banque Centrale déclare : « La décision de nommer ou de limoger le Gouverneur de la banque centrale, qui intervient sous proposition du Président de la République et du Chef du Gouvernement, doit être adoptée par l'Assemblée Nationale Constituante (ANC) conformément à la loi portant sur l'organisation provisoire des pouvoirs publics ». Le Maghreb : Jebali : L'extradition de Baghdadi Mahmoudi sera faite même sans la signature de Marzouki Hamadi Jebali avait déclaré que la décision relative à l'extradition de Baghdadi Mahmoudi, est irrévocable et qu'elle sera faite même sans la signature de Marzouki. Le Quotidien : Une conférence de presse a été tenue, hier, au siège de syndicat national des journalistes tunisiens, pour dénoncer la violence contre les médias et ouvrir une enquête contre les auteurs des agressions commises. Assabah : Le Ministère public au Tribunal de première instance de Gafsa a décidé d'ouvrir une enquête judiciaire contre le syndicaliste Adnène Hajji pour «incitation au meurtre », et cela suite à une plainte déposée par Me Boubaker Ben Ali, représentant du citoyen Samir Ben Sassi originaire de la ville « El Ksar » du gouvernorat de Gafsa. Achourouk : Des sources bien informées annoncent qu'environ 8605 hommes d'affaires étrangers, dont 2600 hommes d'affaires tunisiens, ont investi en Algérie après les révolutions. 2600 hommes d'affaires tunisiens avaient quitté la Tunisie, après la Révolution, et se sont dirigés vers l'Algérie pour investir et laissant la Tunisie dans de gros problèmes économiques et notamment après la suspension de l'activité d'environ 460 hommes d'affaires impliqués dans des affaires d'abus de pouvoir et de malversation. Le Temps : Durant les deux dernières semaines, les agressions contre la chaîne de télévision Elhiwar Ettounsi se succèdent à une cadence telle qu'on ne peut les imputer sur le compte du hasard, ni les qualifier d'actes isolées et innocents. Telle est la principale conclusion étayée par Tahar Ben Hassine Directeur général de la chaîne dans une conférence de presse tenue hier au siège du syndicat National des journalistes Tunisiens (SNJT). Assarih : L'affaire des blessés de la Révolution avait pris de l'ampleur et avait évolué sans qu'il y ait une solution. Les blessées de la Révolution se sont rassemblés hier devant le siège de l'Assemblée Nationale Constituante pour demander aux autorités de tutelle une amélioration urgente de leurs situations qu'ils décrivaient de misérable. Des sources avaient précisé que parmi les protestants, il y avait quatre personnes avec des cordes aux cous, qui menaçaient de se pendre en plein public.