L'ancien ministre de la justice, Nourredine Bhiri, a déclaré dans les colonnes du journal saoudien « Ariadh » qu'il en va de la souveraineté même du pays que de saisir la justice internationale dans l'affaire de l'assassinat du leader du Front populaire Chokri Belaid jugeant que cela met en doute l'indépendance, la transparence et la neutralité de la justice tunisienne. Rappelant la portée de l'Islam à réunir tous les tunisiens et non à les diviser ou à les dresser les uns contre les autres, l'ancien ministre de la justice a estimé que certains ne l'ont pas encore compris.