L'alerte a été donnée par la communauté internationale, conduite par le groupe Femen qui s'inquiète pour le sort d'Amina, la première « femen » tunisienne. En effet, suite à son apparition sur le plateau d'une TV privée, la jeune lycéenne aurait disparu de la circulation. Elle n'a plus donné signe de vie sur sa page, sur la quelle elle avait reçu beaucoup de menaces de mort, de la part de la mouvance islamiste, avant d'être piratée par un certain « Al Angour ». Les femmes du groupe « Femen » international s'inquiètent, leur consœur tunisienne ne répond pas à leurs messages et son téléphone reste désespérément éteint. Le sujet crée un émoi certain sur les journaux notamment européens, contrastant avec l'indifférence des médias tunisiens.