Le ministère public a nié dans un communiqué paru ce mardi les informations selon les quelles l'ex ministre des affaires étrangères Rafik Abdessalem a été traduit devant le pôle judiciaire dans le cadre du don chinois accordé à la république tunisienne dans le cadre de l'organisation du Congrès Sino-arabe en Tunisie. Le communiqué précise que cette affaire est dissociée de l'affaire Sheraton dans laquelle la blogueuse Olfa Riahi est accusée. Dans le cadre de cette même affaire, le parquet a ouvert une enquête contre toute personne présumée avoir utilisé sa qualité de responsable pour en tirer profit et porter atteinte à l'administration. L'accusation n'a été adressée à aucune personne en particulier ajoute le communiqué faisant allusion à Rafik Abdesslem.