Mezri Haddad, ex-ambassadeur de Tunisie auprès de l'UNESCO, a indiqué sur France 24 que le général Rachid Ammar a été contraint de démissionner et a considéré que ceci constitue la dernière étape avant l'anarchie et la guerre civile. Cette démission intervient suite aux déclarations du leader d'Ennahdha Rached Ghannouchi qui a confié que l'armée n'est pas « garantie », a ajouté Mezri Haddad.