La chambre correctionnelle numéro 6 au Tribunal de première instance de Tunis, a condamné Imed Dghij, dirigeant des « Hommes de la Révolution du Kram » à huit mois de prison pour incitation et menace nécessitant une sanction pénale. La même chambre a condamné Dghij à six mois de prison pour atteinte à autrui via les réseaux de communication, selon les textes de l'article 36 du code des télécommunications. Ainsi, l'ensemble des peines contre Imed Dghij s'élèvent à un an et deux mois de prison ferme. En attendant, peut-être une action de grâce opérée, en sa faveur, par « qui de droit ».