Sur les pas de Imed Dghig, membre de la Ligue de la Protection de la Révolution du Kram, Nadia Farès, journaliste à la chaine « Al Moutawasset », connue pour son engagement résolu en faveur de certaines parties, a menacé, via les réseaux sociaux, d'un bain de sang en cas de victoire du président de Nidaa Tounès, Béji Caïd Essebsi. Bafouant toute règle déontologique, la journaliste a exprimé son soutien au président sortant, Moncef Marzouki et mis en garde « contre toute odeur de falsification ». Elle jure que « le sang tranchera la bataille si Béji Caïd Essebsi passe ». « Entre nous, il y a les armes », ajoute-t-elle.