L'islamologue Tariq Ramadan pourrait être contraint de reconnaître une relation sexuelle avec une des plaignantes. La troisième plaignante, Marie, a en effet remis aux enquêteurs une robe noire tachée du sperme de Tariq Ramadan, selon elle. Ces derniers jours, une expertise a été ordonnée par les juges pour vérifier si cette tache correspond à l'ADN du prédicateur musulman. Ce nouvel élément dans le dossier pourrait obliger Tariq Ramadan à admettre une relation sexuelle avec la plaignante, selon le journal JDD qui précise que depuis le dépôt des plaintes, Tariq Ramadan avait assuré n'avoir eu aucune relation sexuelle avec aucune de ses accusatrices.