Les principaux protagonistes de la crise libyenne, réunis mardi à Paris, sous les auspices du président français, Emmanuel Macron, se sont engagés à organiser des élections générales le 10 décembre 2018. En présence des représentants de 20 pays dont les présidents tunisien Béji Caïed Essebsi, tchadien Idriss Deby et nigérien Mahamat Issoufou et le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia. Le Premier ministre du gouvernement d'union nationale, Fayez al-Sarraj, le maréchal Khalifa Haftar, le président de la Chambre des représentants, Aguila Salah et celui du Conseil d'Etat, Khaled al-Mechri se sont engagés également à œuvrer d'ici le 16 septembre à adopter toutes les lois électorales et à accepter les résultats du prochain scrutin.