Un grave précédant s'est déroulé ce mercredi sur le parvis de l'Avenue Habib Bourguiba, quand des journalistes ont été pris à parti et agressés aussi bien physiquement que moralement par des « pseudo-enseignants » qui sont censés éduquer les jeunes générations. Les confrères victimes et témoins de ces agressions ont assuré que Lassaâd Yâakoubi a donné sa bénédiction pour l'équipe d'une seule chaine de Tv connue pour son hostilité affichée au gouvernement, et son « parrainage » des grèves des enseignants, et aurait donné ses ordres à ses « sbires » pour « virer » tous les autres journalistes, qui ont été traités de tous les noms, et qui ont été accusés de travailler pour le compte d'agendas particuliers. Mais les agressions et humiliations ne se son pas arrêtées à ce niveau, puisque nos nobles « éducateurs » des quels on attend qu'ils donnent la meilleure éducation à nos enfants, se sont laissés emportés par leur enthousiasme, pour passer à l'action et agresser, physiquement, les journalistes, en prêtant une attention particulière aux représentants de certains médias qui sont jugés par le tout puissant Lassaâd Yaâkoubi, comme hostiles à son « épopée », et à sa « prise en otage des enfants du pays ». Une des victimes de ces supposés éducateurs leur a beau crié qu'elle était enceinte et qu'elle ne supportait pas d'être malmenée, n'a, semble-t-il fait qu'attiser la haine de ces nobles enseignants qui l'ont rouée de coups, et ont voulu lui saccager sa caméra. Sachant que nos confrères n'avaient jamais été confrontés à de tels comportements, y compris par les groupes dits « terroristes » quand ils ont couvert des évènements d'une rare violence, comme l'attaque de l'ambassade US à Tunis. Suite à ces débordements orchestrés par Lassaâd Yaâkoubi qui a, ainsi, dépassé toutes les lignes rouges, ce qui était, soit-dit, normal, puisqu'il a affirmé à plusieurs reprises que, dans sa croisade pour obtenir des augmentations, il ne reconnaissait, cette année, aucune ligne rouge, y compris celles imposées par ses patrons de la centrale syndicale, le SNJT a publié un communiqué pour condamner ce comportement indigne de gens qui sont censés êtres des éducateurs qui devraient apprendre aux futures générations, les bonnes manières. Le SNJT a affirmé qu'il se réservait le droit de poursuivre en justice les responsables de cette violence gratuite envers les journalistes. Le SNJT a, par la même occasion, publié la liste des consœurs et confrères qui ont fait les frais de la sauvagerie de cette « horde » d'éducateurs. Il s'agit, entre autres de : Amira Houimli et Abdessalem Farhat de la chaine TV Al Hiwar Fatma Abdelli et Adel Bousenna de a chaine TV Hnnibal Aïcha Safi et Hamdi Khaïrallah de la chaine « Al Janoubiya » Abderrahim Rezgui correspondant de la chaine libyenne 218 Latifa Anouar de la radio « Amal » Maha Essid de la radio Med FM Maher Seghaïer de l radio Jawhara FM Malek Khaldi de la radio Shems FM Maroua Khenissi du site « TunisieNumerique ».