Le cardiologue, par ailleurs chef du Parti Watan Adel, Sahbi Ben Fredj a déclaré dans un statut rendu public sur sa page ce soir 22 avril 2021, qu'une fois le parquet militaire émet un mandat d'amener, (dans ce cas contre un député), le parlement ne peut pas le révoquer ni s'y opposer. En outre, il a indiqué que la réunion tenue au cabinet de l'ARP a été l'occasion de prendre une position. «Le problème est que la mise en œuvre dudit mandat est juridiquement confiée aux forces de la sécurité intérieure ou aux forces armées civiles et elle est sous le commandement du ministre de l'Intérieur, lui-même chef du gouvernement, Hichem Mechichi. », lit-on sur sa page. Sahbi a estimé que l'application du mandat d'amener par Mechichi, signifie la déchirure de la ceinture parlementaire. De ce fait, sa non-exécution représente un pas supplémentaire dans la provocation du président Kais Saied. Ben Fredj a conclu que quoi qu'il en soit, le pays est toujours dans une crise socio-économique aggravée par les répercussions de la pandémie du Coronavirus. Que se passe-t-il en Tunisie? Nous expliquons sur notre chaîne YouTube . Abonnez-vous!
