Les forces de sécurité étaient, lundi 20 février, fortement mobilisées dans le sud du Yémen, où la tension est montée d'un cran à la veille de l'élection présidentielle, boycottée par des militants sudistes. La veille au soir, le futur président, Abd Rabbo Mansour Hadi, avait lancé un appel à une aide internationale pour son pays dévasté.