L'ONG Amnesty International (AI) met en cause, dans son rapport 2013 sur la situation des droits de l'Homme dans le monde et dans le volet consacré à la Tunisie, "la persistance de la pratique de la torture" et "l'usage excessif de la violence par la police contre les manifestants", outre "la discrimination contre la femme dans les textes et dans la pratique" et "le maintien de la peine de mort à l'endroit de neuf personnes sans exécution de la peine".