Mouna Essghir) - La contribution des sociétés d'investissement à capital risque (SICAR) et des Fonds communs de placement à risque (FCPR) au financement des entreprises, a régressé, en moyenne, entre 25% à 30% au cours des trois dernières années en raison, du tarissement des viviers de «bons projets» à financer, d'après M. Karim Ghenim, PDG de BIAT capital risque et président de l'Association tunisienne des investisseurs en capital (ATIC).