Le porte-parole officiel du Tribunal de première instance de Tunis, Sofiène Sliti a estimé, vendredi, que les aveux des deux témoins libyens auditionnés par le juge d'instruction sur l'assassinat des deux journalistes Sofiène Chourabi et Nadhir Ktari ne peuvent être établis comme une vérité juridique irréfutable.