Nos ancêtres n'avaient, semble-t-il pas tort lorsqu'ils avaient surnommé les figues de barbarie « sultan des fruits ». Quand les secrets cachés de ce fruit lui ont été révélés, Mohamed Rachedi Bannani, de la région de Kasserine (centre ouest de la Tunisie), a mobilisé des fonds d'environ un million 100 mille dinars pour investir dans les figues de barbarie en lançant son projet, le premier du genre en Tunisie.