La lutte contre le charançon rouge ne nécessite pas des moyens financiers considérables, mais une gestion efficiente et une vigilance pour lutter contre ce fléau qui a attaqué presque le 1/3 des palmiers d'ornement, dans le grand Tunis (35 mille palmiers), ont souligné des experts lors d'une rencontre scientifique de sensibilisation tenue, mardi à Sidi Bou Said (banlieue Nord de la capitale).