Suite à la démission de 11 membres du Congrès pour la République, le parti perd en notoriété, une décision prise en contestation de la perte de confiance en Abderraouf Ayadi secrétaire général du parti. En effet lors d'une conférence de presse, les démissionnaires du CPR se sont prononcés sur le manque d'intérêt que porte le parti envers les sujets qu'ils estiment très importants comme la démocratie, la liberté d'expression et le dossier des martyrs et blessés de la révolution. Ils ont suspendu provisoirement leur appartenance avec le CPR dans l'assemblée générale.