Invité au plateau « Hiwar » sur France 24, le vice-président d'Ennahdha et premier vice-président de l'ARP, Abdelfattah Mourou est revenu sur l'affaire du « bisou ». Commentant aujourd'hui le jugement rendu par les tribunaux de Tunis dans la fameuse affaire du « Bisou », le vice-président d'Ennahdha et premier vice-président de l'ARP, Abdelfattah Mourou, a estimé dans une interview accordée à la chaine France 24, que « le verdict rendu était sévère et que le juge aurait dû se contenter d'infliger une amende aux concernés », écrit Mosaïque Fm sur son site. Abdelfattah Mourou a ajouté que le juge n'a pas pris en compte « les irrégularités qui ont marqué cette affaire », suggérant au passage de « ne pas donner une indépendance absolue aux magistrats. »