Mohamed Abbou ministre auprès du chef du gouvernement chargé de la Fonction publique, de la Gouvernance et de la Lutte contre la corruption a expliqué aujourd'hui que l'affaire des bavettes ne révèle pas selon l'enquête du comité général du contrôle des dépenses publiques de réelle corruption ou de conflits d'intérêts et si les mesures ont été exceptionnelles c'est pour s'adapter à l'urgence des circonstances. Abbou a rappelé sur Mosaique que c'est la pharmacie centrale la partie prenante dans l'affaire des bavettes et cette institution n'est pas assujettie à la loi des appels d'offres. Avec ça la pharmacie centrale a choisi tout de même de ne pas choisir seul à qui confier le marché. Abbou a ajouté que l'enquête n'a pas révélé un réel problème de corruption condamnable mais que le rapport de 15 pages soumis par le comité va être encore examiné.