Mohamed Tlili Mansri, porte-parole et membre de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) a confirmé que l'instance « dispose de données confirmant l'arrestation d'une députée élue dans le nouveau parlement dans une affaire de droit public ». Il a souligné que son département n'a rien à voir puisqu'il s'agit d'un crime de droit public et non d'un crime électoral, dans une déclaration à la TAP aujourd'hui.