Le Directeur général de la Direction de l'Hygiène du Milieu et de la Protection de l'Environnement (DHMPE) au ministère de la Santé, Samir Ouerghemmi, a annoncé que des analyses en laboratoire et des échantillons prélevés sur plusieurs plages tunisiennes ont révélé que certaines d'entre elles étaient interdites à la baignade en raison de la mauvaise qualité de leurs eaux, et sont classées comme des points noirs. Les 28 plages concernées sont : Tunis : Plages de La Goulette : en face de la rue Casino, en face de la rue Fattouma Bourguiba. Ben Arous :Station d'énergie à Radès, À cent mètres au sud de la plage Marouen à Radès, en face du siège de la Protection civile de Radès, à cent mètres au sud du détritus de l'Oued Meliane à Ezzahra, Radès, en face du détritus de l'Oued Maaizat à Ezzahra, au niveau du détritus Oued Boukhamsa,en face de la rue "Salsa Majeure" à Hammam Lif, en face de la rue 7 Novembre à Hammam Lif, en face de Casino à Hammam Lif, en face de l'avenue Salambo à Hammam Lif, en face de la rue Habib Thameur à Hammam Lif, en face de la rue Aziza Othmana à Hammam Lif, au niveau de l'ancien détritus à Hammam Lif, au niveau du détritus Oued Ayacha, en face de l'hôtel Caraïbe à Borj Cedria. Nabeul : En face de la station d'épuration Dar Chaabane. Bizerte : Plage Baali à Menzel Jmil, au port de pêche et à Sidi El Hachani à Menzel Abderrahmane, le canal 1 et le canal 2 de Zarzouna. Sousse : Port de Sousse. Gabès : Plage Essalem, détritus de l'ancien oued Gabès ville. Samir Ouerghemmi a mentionné que 539 plages sont sous surveillance, indiquant que depuis le début de l'année 2024, environ 2000 échantillons ont été prélevés pour des analyses biologiques à la recherche d'indicateurs de pollution fécale.
