Le retour définitif des trois compagnies pétrolières internationales, touchées par l'attaque terroriste de Tiguentouine à In Amenas en janvier 2013, a été décidé après la mise en place de nouvelles mesures de sécurité. Pour protéger les installations pétrolières dans le Sud, de nouvelles mesures ont été prises sur la base du rapport de la commission de sécurité installée par le président Bouteflika au lendemain de cette attaque. Une commission qui a enquêté sur les raisons de l'échec des mesures de sécurité déjà en place qui auraient pu éviter le massacre. Quatre régions sont concernées par ces mesures : le bassin d'In Salah et Adrar, celui de Hassi R'mel, Hassi Messoud, la zone sud-est qui englobe les bases de Tiafti ainsi que In Amenas. Selon toujours la même source, l'Algérie a donné d'importantes garanties aux compagnies pétrolières qui étaient présentes sur le site de Tiguentourine lors de l'attaque terroriste. Il s'agit des sociétés BP (britannique), Statoil (norvégienne) et la société Jay JC (japonaise), en plus des représentants des sociétés d'assurance. En quoi consistent ces nouvelles mesures ?