L'université Tunis El Manar a été à l'honneur lors du Premier Congrès Mondial de Brachylogie qui s'est tenu entre Kénitra et Rabat (au Maroc) du 16 au 18 avril 2015. Il importe d'abord de souligner la participation record des universités tunisiennes en général (15), mais de l'Université Tunis El Manar en particulier (8). Celle-ci a été représentée par M. Youssef Ben Othman, vice-président de l'Université, M. Taoufik Aloui, directeur de l'Institut Supérieur des Sciences Humaines de Tunis, Mme Halima Ouanada, directrice du département de français, en plus de l'initiateur du concept et du projet de la « Nouvelle Brachylogie », le Pr. Mansour M'henni, président aussi de Brachylogia-Tunisie et de la Coordination Internationale des Recherches et Etudes Brachylogiques (CIREB, à Paris). M. Ben Othmane et M. Aloui ont vite saisi l'opportunité de cette circonstance académique fondatrice pour engager une dynamique d'échanges et de collaboration entre leur université et les universités d'accueil, surtout que l'ambiance était à l'amitié et à la fraternité, amplement réconfortée par l'excellent accueil des collègues marocains, notamment le Président de l'Université Ibn Tofaïl de Kénitra, le Président de l'Université Mohamed V de Rabat, le doyen de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de Kénitra et le doyen de la Faculté des Sciences de l'Education à Rabat. Ainsi un projet de convention cadre entre l'université Tunis El Manar et l'Université Ibn Tofaïl d'une part, un autre entre la première et l'Université Mohamed V ont été soumis à l'examen pour une éventuelle ratification à Tunis, en octobre 2015, lors du IV° Séminaire des Etudes Brachylogiques (15-17 octobre 2015, sur « Brachylogie et Lumière(s) »). Ces conventions permettront ainsi la multiplication des formes de collaboration bilmatérales entre les différents établissements des universités concernées. Ont pris part à la séance de travail Messieurs Mohamed Zinelabidine, M. Mohamed Saad Borghol et M. Mustapha Trabelsi, respectivement des universités de Tunis, de Monastir et de Sfax. La possibilité d'élargir l'effet des conventions étudiées à ces universités a été retenue, en attendant l'officialisation de la démarche.