Bouali Mbarki, secrétaire général adjoint de l'Union Générale Tunisienne du Travail, aurait été menacé de mort par une lettre qui lui serait parvenue par voie postale du gouvernorat de Monastir, selon le cachet postal apposé sur le timbre collé sur l'enveloppe. Le syndicaliste, a confirmé cette menace au cours de la soirée du lundi 22 juin 2015, en précisant que le courrier reçu porte la signature de "La jeunesse libre en Tunisie". Selon Mbarki, ce n'est pas la première lettre de menaces qui lui soit parvenue et qui contienne des menaces de le liquider physiquement. Il a affirmé avoir alerté les autorités en précisant que rien ne pourra le dissuader de faire son devoir et que le pouvoir de vie ou de mort sur les hommes n'appartient qu'à Allah.